Favoriser la réussite scolaire de l’enfant

La réussite scolaire de l’enfant
John Médina, reconnu comme l’un des plus grands neuroscientifiques de notre époque, interpelle les parents en affirmant que le stress familial affecte l’épanouissement scolaire de leurs enfants.

Tout savoir sur la réussite scolaire Quand le stress familial affecte les résultats scolaire de votre enfant.

Dans un de ses livres, John Médina, affirme que le stress dans les foyers est profondément lié à la capacité de l’enfant à obtenir de bons résultats scolaires et donc plus tard à réussir sa vie professionnelle.

Imaginez un instant !

En ce moment, les querelles vont bon train avec votre conjoint. ¨Etes-vous efficace au travail ?

Imaginez votre enfant, moins doté que vous pour gérer ses émotions, assister régulièrement aux disputes de ses parents ? Ses parents qui sont pour lui sa seule sécurité fiable ! Pourra t’il être pleinement concentré , à l’écoute de son enseignante ? Ses résultats à l’école risquent de se ressentir.

Comment votre enfant vit-il ce stress familial ?

Un certain nombres d’études montrent que déjà certains enfants à peine âgés de 6 mois ont une réaction physiologique aux conflits des adultes :

Déterminer la réussite scolaire de son enfant Comment ce stress se traduit-il au niveau du comportement de votre enfant ?

Les spécialistes observent que ces enfants ont des difficultés à :

Egalement, sont constatés :

Ces troubles peuvent gravement perturber les processus cognitifs qui jouent un rôle important dans la réussite scolaire et donc la réussite professionnelle.

Quelques constats qui font réfléchir.

John médina met en avant la seconde conséquence du stress : les cerveaux stressés apprennent moins bien que les non stressés;

Que faire pour favoriser la réussite scolaire de l’enfant

Il faudrait améliorer l’entente parentale affirme John Gotteman, célèbre chercheur sur le mariage et professeur de psychologie à Washington.

Ce dernier peut prédire l’avenir d’un mariage en 3 minutes de contact avec le couple. Après des années d’observations de la vie de couple , il a :

En améliorant la stabilité émotionnelle des couples, Gottman et ses collaborateurs améliorent aussi celle des enfants, surtout en les amenant au parc d'attraction Disneyland Paris

entrée de disneyland Paris

La proposition de Médina : commencer par éduquer les parents.

Partant du principe que la stabilité émotionnelle de la famille est un des meilleurs indicateurs de réussite scolaire, Médina envisage un système éducatif où les premiers à apprendre seraient, non pas les enfants, mais les parents !

En améliorant la stabilité émotionnelle des couples, Gottman et ses collaborateurs amélioraient aussi celle des enfants.

Si cela vous intéresse, je m’y suis penchée. j’organise à partir de la rentrée septembre 2012, des ateliers intitulés ’’ Parents-enfants, entendez-vous !’’

CMJN de base

Comment améliorer l’entente parentale ?

En attendent que je publie des articles sur cette thématique, je vous propose d’aller voir 2 blogs intéressants de 2 collègues bloggeurs.

Retard global de développement chez l’enfant

Il rêve !

Il ne fait rien !

Il commence à peine que les autres ont fini. Il retarde la classe. On dirait qu’il souffre d’un retard de développement !

Qu’est-ce qu’il est lent !

Ce défaut ‘’ lent’’ est souvent mal accepté car assimilé à de la paresse intellectuelle ou de la mauvaise volonté.

Mais ayons en tête que rapidité ne va pas toujours dans le sens d’efficacité !

Mais seulement, voilà, le professeur doit finir le programme avant la fin de l’année.

Retard global de développement : Mon enfant en souffre-t-il ?

Reconnaître le retard de développement chez l’enfant

enfantparesseuxappr_400Deux motivations existent pour expliquer le comportement normal de l’enfant considéré comme studieux :

et

Si l’une de ces deux motivations manque, il se produit un phénomène d’inhibition de son attention et de sa capacité de mémoriser ce qui est dit en classe.

Comment soigner un retard global de développement chez l’enfant enfant reveurLes enfants lents peuvent devenir de grands chercheurs, ou des créatifs, car ils alternent une période de « maturation » et une période de création parfois fulgurante.

Valorisez cet atout On ne le bouscule pas et on évite bien sûr de le traiter de « lambin ».

Au contraire, on le félicite de prendre le temps d’aller au bout des choses. On lui permet aussi de s’octroyer des plages de rêverie.

En grandissant, vous verrez que ce sont des enfants souvent très appréciés et écoutés par leur entourage.

Enfant_concentréLes enfants dyspraxiques représentent 5 à 6% de la population des enfants scolarisés.

Qu’est-ce que la dyspraxie ?

C’est un trouble spécifique du développement moteur qui empêche l’enfant de coordonner correctement ses gestes et de bien s’orienter dans l’espace : ses gestes ne sont jamais automatiques, nécessitent toujours un contrôle volontaire extrêmement fatigant.

La dyspraxie n’est en aucun cas une déficience intellectuelle. Ces enfants ont une intelligence normale, voire même une facilité dans le domaine du langage.

Comment se manifeste la dyspraxie ?

Voici les manifestations les plus courantes :

Notre vie quotidienne, mener rapidement, demande alors à l’enfant de s’adapter à un rythme qui n’est pas le sien. Est-ce le cas chez vous ?

Commencer par s’interroger sur sa propre précipitation est un bon point de départ. Il est urgent que les parents prennent conscience qu’ils peuvent ralentir la cadence avec leurs enfants dans les petites choses du quotidien.

D’autre propositions ?

Je vous donne rdv vendredi prochain pour en discuter. Je vous proposerai des pistes.

Si vous n’êtes pas inscrits à ma newsletter, faites-le : vous recevrez ainsi la suite, directement à domicile !

N’hésitez pas à ajouter des commentaires si vous avez déjà été confronté à un retard de développement chez l’enfant !

Enfant qui s’ennuie : comment faire ?

Ma fille de 6 ans me le dit régulièrement.

En effet, ce sont des phrases qu’on entend souvent chez les jeunes enfants à partir de 3/4 ans.

Ce qui peut nous parait incompréhensible, surtout si leur chambre est pleine de jouets et de jeux. Les parents peuvent être un peu désemparés parfois mais heureusement l’éducation positive nous livre quelques conseils.

Comment gérer un enfant qui s’ennuie

Dès la veille, dès le saut du lit, l’enfant s’inquiète de savoir ce qu’il va faire.

Il est vrai, qu’en période scolaire, le programme de nos enfants ressemble parfois à un véritable marathon : les activités s’enchainent.

De plus, souvent , il entend : dépêche-toi !

Alors, saura t-il ralentir au moment voulu ? Saura t-il s’arrêter lorsque les week-ends, les vacances arriveront ?

En effet, arrivé en vacances : gare au vide ! Combler 2 mois de vacances en été, c’est parfois difficile. Il reste actuellement environ 2 semaines !

Et si nous profitions de cette pause estivale qui nous reste , pour se pencher sur cette question de l’ennui.

L’ennui chez l’enfant, c’est normal !

Etty_BuzynJ’ai trouvé les propos de cette psychologue et psychothérapeute, Etty Buzyn très intéressants ; j’avais envie de les partager avec vous :

‘’ Je crois que les parents, dans l’idée de les éveiller, leur proposent toujours des choses à faire, et que leur “ennui ” provient de là, dès qu’ils ont un moment où ils ne sont pas occupés. Si on ne leur propose pas d’activité et qu’ils ne sont pas “cadrés”, ils ont alors du mal à mobiliser des ressources personnelles. Sans compter que les enfants sont aussi témoins de la boulimie d’activités de leurs parents.

… Il suffit de mettre un enfant dans un champ, une forêt, un grenier… pour qu’il trouve tout de suite un monde à créer ! Mais encore faut-il lui donner l’espace et le temps d’explorer. Or il existe une sorte de sur-activation qui porte préjudice au besoin élémentaire de l’enfant : avoir du temps pour lui, pour inventer et même S’ENNUYER. ‘’

Un enfant qui s’ennuie, qu’est-ce que ça veut dire question Apprendre à bien décoder l’ENNUI de notre enfant, pour lui répondre efficacement. Voilà ce qui peut se passer dans la tête de votre enfant :

Notre enfant dit s’ennuyer : que faire ?

A la fois, nous devons :

D’autre part, nous devons aussi veiller à avoir notre bulle d’oxygène :

si vous ne voulez pas que la cocotte minute explose un jour !

Et vous, que faites-vous, quand votre enfant s’ennuie ?

Vos astuces sont les bienvenues dans la rubrique commentaire sous l’article comme allez à Disneyland pour que les enfants s'amusent et se détendent après l'école.

parc disneyland

Vous contribuerez ainsi à enrichir ce blog qui se veut être collaboratif. Ma motivation, en enrichissant ce blog régulièrement, c’est de vous donner un maximum d’outils pour ‘’ Une vie en famille’’ plus sereine, plus joyeuse et plus épanouie.

Alors, si vous pensez que cet article, que ce blog, peuvent intéresser votre entourage, partagez-le sans modération pour le bien-être de tous !

Je vous propose 10 recommandations pour une rentrée scolaire ZEN !

_ Accueillez les craintes de vos enfants.

Quand la rentrée approche à grands pas, certains enfants :

Si c’est le cas, ne refoulez surtout pas leurs émotions négatives ; accueillez-les ! De toutes façons, elles reviendront au grand galop ! Et dans l’urgence, ce sera plus difficile à traiter ( manque de temps, manque de lucidité…). Il vous reste donc une semaine pour jouer au détective et en savoir un peu plus sur les craintes de votre enfant afin d’y répondre ou d’aller consulter.

Renouez le contact avec l’école .

afin de créer un état interne positif ; le cerveau ne faisant pas la différence entre ce qui est ressenti et vécu.

Gardez toujours un état d’esprit positif ! Votre enfant doit avoir une bonne image de l’école. Gardez vos craintes que vous transformez d’habitude en réprimandes : « Je te préviens, cette année, t’as intérêt à bosser ! Sinon… »

Préparez avec soin son cartable.

Eh oui, c’est le fameux épisode des achats des fournitures scolaires !

Même si vous cherchez à limiter les coûts, laissez-le exprimer ses choix surtout pour :

Aimeriez-vous travailler avec du matériel qui ne vous plait pas ? Votre enfant c’est pareil. Laissez-lui donc la possibilité de choisir certaines de ses affaires.

GrosseBaseNumbers_06Dosez les activités extra scolaires : ce sont de chouettes moments pour nos enfants mais il ne faut pas qu’ils aient un emploi de temps de ministre.

L’année dernière, cela s’est bien passé ? Si oui, continuez ainsi.

Sinon, rectifiez le tir car si vous ne changez rien cela ne pourra aller qu’en empirant : fatigue, déconcentration…

Préparez aussi votre rentrée : comment allez-vous vous organiser ?

Comment s’est passée l’organisation de la famille l’année dernière :

Bien ? Que faut-il garder, renouveler ? Que mettre en place qui va vous faciliter la vie ?

Mal ? Que changer, améliorer ? Posez vous cette question qui orientera vos réflexions : « Qu’est-ce que je ne veux plus vivre cette année ? »

Anticiper les moments critiques :

Discutez-en aussi en famille pour avoir l’avis de tout le monde. Chacun peut proposer des solutions.

La règle d’or : je ne commente pas, je ne critique pas les propositions des autres. Tout est noté afin que chacun se sente responsable de la vie de famille. Chacun a sa place, a son importance.

‘’La vérité ne sort-elle pas de la bouche des enfants ? ’’

Ménagez-vous du temps pour la rentrée

accompagner son enfant à l'écoleSi vous avez la possibilité de garder du temps pour la rentrée scolaire de votre enfant, posez quelques jours ou demies journées de congé. Votre présence rassurera votre enfant et vous ferez les choses sereinement.

L’idée est de commencer cette rentrée scolaire sans trop de pression, avec du temps pour chaque étape de cette rentrée.

Occupez-vous del’administratif

Quelques révisions pour réveiller la mémoire : 2 semaines avant la grande reprise, vous pouvez peut-être sortir les cahiers de vacances et consacrez chaque jour un temps court aux révisions ( fondamentaux de l’année passées, les difficultés rencontrées. )

Si vous n’êtes pas un adepte des cahiers de vacances, misez au moins sur la lecture et l’écriture.

GrosseBaseNumbers_11 GrosseBaseNumbers_20 S’abonner à la newsletter de ‘’réussir en famille’’.

Chaque semaine des conseils, des astuces pour une vie en famille épanouie et sereine.

Voici une check-list afin de penser à tout . Vous pouvez l’imprimer et cochez au fur et à mesure.

[ ] Renouvelez les assurances scolaires, extra scolaires.

[ ] Renouvelez les certificats médicaux pour le sport.

[ ] Prévoyez des photos d’identité.

[ ] Vérifiez les inscriptions cantine, car et garderie.

[ ] Réservez du temps pour cette rentrée : prendre 1 à 2 journées de congé, voire plus si possible.

[ ] Songez au matériel scolaire : triez, renouvelez.

[ ] 1 à 2 semaines avant le jour J, planifiez quelques séances de révision .

[ ] 1 semaine avant, revenez aux horaires scolaires : heures du lever, du coucher, du rangement des chambres, des repas.

[ ] Mettre en avant les bons côtés de cette nouvelle année scolaire.

[ ] Inviter des amis d’école.

[ ] Organisez votre emploi du temps : que garder ? Que changer par rapport à l’année dernière ?

[ ] Inscrivez-vous à la newsletter ‘’Réussir en famille’’.

Si vous avez d’autres recommandations pour bien vivre cette rentrée scolaire, partagez-les dans la rubrique commentaire.

Education positive : c’est quoi ?

L’éducation positive ou repenser la relation parent-enfants En vogue depuis quelques années, l’éducation positive vise à repenser la relation qu’entretiennent les enfants et les parents. Dans ce modèle d’éducation, le développement de l’enfant est placé au centre des enjeux. L’objectif est de le responsabiliser très tôt en lui donnant des clés pour apprendre à se construire.

La discipline positive, méthode d’éducation basée sur l’encouragement et la valorisation, a été créée par Jane Nelsen docteur en psychologie aux Etats-Unis. Appelée également éducation bienveillante, la Discipline Positive propose aux parents, aux enseignants et aux éducateurs un ensemble d’outils et une méthode ni permissive ni punitive qui permet de développer chez l’enfant l’auto discipline, le sens des responsabilités, l’autonomie, l’envie d’apprendre, le respect mutuel, etc. Dans cette méthode, l’autorité s’exerce sans soumission, en conciliant fermeté et bienveillance. Les punitions sont ainsi mises de côté car selon Jane Nelsen, elles sont uniquement efficaces à court terme, contrairement aux sanctions qui donnent un sens des responsabilités et du respect des règles. Cette méthode s’appuie sur l’écoute des émotions, l’expression des besoins, la gestion des conflits sans gagnant ni perdant et la coopération.

Pour Isabelle Filliozat, conférencière et formatrice en éducation positive « Derrière une réaction inappropriée se cache un besoin. Nos interprétations guident notre comportement. Il est donc fondamental de mieux comprendre les motivations des enfants. ».

Les objectifs selon Jane Nelsen Aider les enfants à avoir le sentiment d’être connectés et développer le sentiment d’appartenance et d’importance.

Se baser sur le respect mutuel et l’encouragement avec à la fois bienveillance et fermeté.

Etre efficace à long terme.

Enseigner des compétences sociales et des compétences de vie importantes : Le respect, l’attention aux autres, la résolution de problèmes et la coopération ainsi que la capacité à participer à la vie de la famille, de l’école ou de la communauté au sens large.

Inviter les enfants à découvrir leurs capacités et développer ainsi leur autonomie et leur estime de soi.

Propreté, respect, politesse, comment se faire obéir sans cris ni colères par nos enfants ?

Parentalité bienveillante et éducation positive sont les mots d’ordre de l’ouvrage “Kit pour une éducation positive” de Vanessa Saab

Un livre qui apprend aux parents comment faire obéir leurs enfants sans faire appel à la violence ou aux cris.

L’éducation positive permet aux parents dépassés par les colères de leurs petits, de gérer correctement des situations de crise et éviter que cela se reproduise.

Cela passe par des temps calme, des temps de méditation, en évitant les punitions et les privations.

Mais problème : comment faire pour que vos enfants obéissent en s’amusant ?

Souvent, lorsque les parents commencent à parler de “l’heure du coucher” ; “le brossage de dents”, etc, les enfants ont tendance à fuir ou à piquer une crise.

L’éducation positive

Etre parent peut être tant une bénédiction qu’un cauchemar quand l’éducation est source de conflit.

L’éducation positive prône le lâcher prise. De plus, elle permet aux parents de redevenir des exemples plutôt que des tyrans, en travaillant sur leurs blessures d’enfance, en arrêtant de culpabiliser, et en profitant de l’instant présent.

Car, être parent, c’est avant tout un plaisir !

Eduquer en s’amusant

Et si on pouvait éduquer tout en s’amusant ? Arrêter de passer par les punitions, les menaces et les privations…

Faire comprendre à son enfant que se brosser les dents peut être amusant, que de mettre la table aussi !

Il faut réussir à instaurer un climat de confiance, et non de supériorité. L’enfant a besoin de sentir qu’il ne fait rien par la peur ou la menace mais parce que c’est bénéfique pour lui et que cela ne sert à rien de s’énerver.

Le livre offre la possibilité aux familles d’avoir les clés pour réussir à communiquer sans violences verbales ou physiques.

Le bien-être est la priorité des parents pour leurs enfants, mais se questionnent beaucoup sur la meilleure manière d’aboutir à ce résultat. De même, à l’école on développe essentiellement des compétences académiques même si l’on vise à plus long terme une bonne insertions sociale et professionnelle et par-là un bien-être durable. L’éducation positive concerne les formes d’éducation qui favorisent les compétences utiles aux apprentissages et les compétences favorisant un mieux-être de même que le « vivre ensemble ». Il s’agit d’une approche innovante s’appuyant les recherches en psychologie positive et en éducation.

Pratiques d’éducation positive

Ces pratiques sont à destination des enseignants. Il s’agit d’exercices de psychologie positive à utiliser en classe avec des élèves de tout âge. Ces exercices sont regroupés en 4 thèmes et ne nécessitent aucune formation particulière pour être utilisés. Ils ne prennent que peu de temps, ce qui ne vous mettra pas en retard dans le programme scolaire.

Reconnaissance et gratitude

En quoi développer la psychologie positive dans l’éducation est important ?

L’apprentissage de pratiques liées à la psychologie positive tend à renforcer la santé mentale chez les enfants. De nombreuses recherches ont démontré que développer le bien-être au cours de l’enfance favorise également le bien-être à l’âge adulte. Si les enfants développement une manière de penser différente et développe des compétences personnelles et relationnelles, celles-ci seront utiles tout au long de son existence. Aujourd’hui, les études montrent que la santé mentale diminue durant la période de l’adolescence. Il semble donc nécessaire d’intervenir en prévention de ces troubles, soit dès l’enfance.

Les exercices proposés ici sont facilement applicables au quotidien : ils ne coûtent rien, ne prennent que peu de temps par jour. Ils permettent de renforcer la confiance en soi, l’épanouissement et apprennent aux enfants des attitudes qu’ils pourront mettre en pratique tout au long de leur vie.

L’enfant fait ses devoirs à temps, il écrit bien, fait son lit et garde sa chambre rangée. Timide parfois, il aide ses parents et s’amuse tout seul. Etant donné qu’il ne pose aucun problème sur le moment, nous avons tous tendance à dire qu’il s’agit d’un enfant parfait.

Il n’est pas concerné par les problèmes des autres enfants : il ne fait pas le clown en classe, ne dessine pas sur les murs et ne frappe pas sa soeur.

Mais faut-il le prendre comme modèle de perfection ? N’y a-t-il rien à améliorer avec ce genre d’enfant ? C’est ce que nous allons voir dans ce nouvel article.

Education positive : les dangers d’un (trop) bon enfant :

En réalité, si cet enfant semble idéal, c’est qu’il fait précisément tout ce qu’on attend de lui. Et c’est précisément ça le problème.

Ces enfants ont un besoin excessif de se conformer et de faire ce qu’on attend d’eux. Et leurs futures difficultés viendront de ce besoin.

Pour un bon garçon, il est impossible de faire autre chose, il n’y a pas d’autres options. Etre bon est une nécessité et non un choix.

Il accepte d’aider sa mère, qui prétend ne pouvoir rien faire d’autre que regarder la télé, ou bien il n’ose pas se rebeller face à un adulte violent. En étant vraiment bon avec les autres, il recherche la validation et leur intérêt.

N’en déplaise à l’humoriste, ce mode éducatif séduit de plus en plus de parents. La preuve, le livre Cool parents make happy kids(Des parents épanouis font des enfants heureux) s’est écoulé à plus de 15.000 exemplaires depuis janvier et le site éponyme est visité 120.000 fois par mois. Mais de quoi s’agit-il ? L’auteure, Charlotte Ducharme, explique : «C’est une philosophie basée sur la confiance, la responsabilisation et l’empathie. Quand un enfant agit mal, on tente d’en comprendre la raison plutôt que crier ou le punir». Mais gare aux amalgames, prévient d’emblée Véronique Maciejak, auteure de 1,2,3, je me mets à l’éducation positive : cela n’a rien à voir avec une éducation laxiste où l’on dit amen à tout ! L’idée n’est pas de fabriquer des enfants-rois mais de répondre à leurs besoins.

“Crises au supermarché”
Max hurle devant une petite voiture que vous n’êtes pas disposée à acheter ? Il a peut-être tout simplement besoin d’attention ! «Si c’est ça, il suffit de regarder le jouet avec lui, dire combien vous le trouvez joli et il se calmera aussitôt», commente Véronique Maciejak. S’il continue de s’époumoner, c’est que ce n’était pas le bon besoin. Il faut donc continuer à chercher. «Les crises au supermarché après l’école dissimulent souvent de la fatigue», poursuit la spécialiste qui conseille de valider ses émotions («je comprends, ce n’était pas le bon moment») puis d’expédier le reste des courses.

Education positive, en conclusion
L’éducation positive, c’est donc une nouvelle façon d’éduquer son enfant. Elle repose sur des principes simples. L’enfant est doté d’une compréhension et d’une capacité à appréhender le monde qu’il entoure…Il faut donc le respecter et le responsabiliser en lui laissant un maximum d’autonomie et surtout lui donner la possibilité d’exprimer ses besoins et ses envies.

Qu’en pensez-vous ? êtes-vous sensible aux méthodes prônées par l’éducation positive ?

Peur de l’abandon chez l’enfant : comprendre et soigner

Peur de l’abandon chez l’enfant : anticiper pour mieux soigner
Lorsque les enfants sont élevés avec une perte chronique, sans la protection psychologique ou physique dont ils ont besoin et qu’ils méritent certainement, il est tout à fait naturel pour eux d’intérioriser une peur incroyable. Ne pas recevoir la protection psychologique ou physique nécessaire équivaut à l’abandon. Et vivre avec des expériences d’abandon répétées crée une honte toxique. La honte découle du message douloureux qu’implique l’abandon : “Tu n’es pas important. Tu n’as pas de valeur.” C’est la douleur dont les gens ont besoin pour guérir.

Pour certains enfants, l’abandon est avant tout physique. L’abandon physique se produit lorsque les conditions physiques nécessaires à l’épanouissement ont été remplacées par :

L’abandon émotionnel se produit lorsque les parents ne fournissent pas les conditions émotionnelles et l’environnement émotionnel nécessaires à un développement sain. J’aime à définir l’abandon émotionnel comme ” lorsqu’un enfant doit cacher une partie de ce qu’il est pour être accepté ou ne pas être rejeté “.

Avoir à cacher une partie de soi-même signifie :

D’autres actes d’abandon se produisent lorsque :

Souvent, les questions d’abandon sont fusionnées avec des frontières déformées, confuses ou indéfinies, par exemple :

Lorsque les parents ne considèrent pas les enfants comme des êtres séparés avec des frontières distinctes.

Lorsque les parents s’attendent à ce que les enfants soient des extensions d’eux-mêmes.

Lorsque les parents ne sont pas disposés à assumer la responsabilité de leurs sentiments, de leurs pensées et de leurs comportements, mais s’attendent à ce que les enfants en assument la responsabilité chez disney.

acheter un billet pour Disneyland

Lorsque l’estime de soi des parents découle du comportement de leur enfant.

Lorsque les enfants sont traités comme des pairs sans distinction parent/enfant.

L’abandon et les frontières déformées, à un moment où les enfants développent leur sens de la valeur, est le fondement de la croyance en leur propre insuffisance et la cause centrale de leur honte.

Les expériences d’abandon et les violations des limites ne sont en aucun cas des mises en accusation de la bonté et de la valeur innées d’un enfant. Au lieu de cela, ils révèlent la pensée erronée, les fausses croyances et les comportements déficients de ceux qui les blessent. Pourtant, les blessures sont frappées au plus profond du cœur et de l’esprit des jeunes, et la douleur bien réelle peut encore être ressentie aujourd’hui. Les causes des blessures émotionnelles doivent être comprises et acceptées pour qu’elles puissent guérir. Jusqu’à ce que cela se produise, la douleur restera avec eux, devenant une force motrice dans leur vie d’adulte.

4 étapes pour élever un enfant qui ne se sent pas bloqué émotionnellement.

Votre enfant souffre de problèmes d’abandon.

Si vous êtes un parent nourricier, vous êtes probablement en train de critiquer cette affirmation. La plupart d’entre nous associent l’abandon à des conditions physiques, comme une alimentation inadéquate, des vêtements inadéquats, de la violence physique ou le fait de laisser littéralement notre enfant sans soins. Si vous assurez le bien-être de vos enfants, comment pourraient-ils se sentir “abandonnés” ?

Alors que nous sommes occupés à fournir aux enfants le nécessaire, il est parfois facile de négliger de cultiver l’environnement émotionnel nécessaire à leur développement. Encore une fois, vous vous dites peut-être : “Hé, j’aime mes enfants. Je m’assure qu’ils sont satisfaits sur le plan émotionnel et je travaille dur pour m’assurer qu’ils sont heureux.”

Comment sauver votre mariage lorsque vous avez des enfants

En grandissant, les enfants ne se sentent pas toujours heureux. Le malheur d’un enfant peut rendre les parents mal à l’aise ; il crée du stress et de l’anxiété pour tous les membres de la famille. Alors, que faisons-nous au lieu de laisser notre enfant souffrir d’émotions négatives ? Nous devenons des fixateurs. Malheureusement, la fixation constante peut engendrer l’abandon émotionnel. Laisse-moi t’expliquer.

Imaginez que votre enfant rentre de l’école. Vous demandez comment s’est passée la journée et l’enfant dit : “Ma journée puait. Je me suis assis seul au déjeuner, et mon professeur de mathématiques est tellement injuste…. Je pense que je pourrais échouer en mathématiques ce semestre. Je me sens vraiment malheureux.”

Alors, comment pouvons-nous communiquer avec nos enfants et leur fournir la sécurité émotionnelle dont ils ont besoin pour être ouverts et authentiques avec nous ? La prochaine fois que votre enfant vous présente un problème, essayez ceci :

Pause : Laissez vos enfants s’exprimer, puis faites une pause d’au moins dix secondes avant de répondre. Laissez les émotions remonter à la surface et s’installer. (Note : Cela peut être difficile. Pourtant, avec de la pratique, la pause peut construire le pont qui mène à une connexion profonde avec votre enfant). Valider : Faites savoir à vos enfants qu’il n’y a rien de mal à ressentir ce qu’ils ressentent. Étiquette : Aidez-les à étiqueter leurs émotions. Lorsque les enfants ressentent pour la première fois des émotions telles que la jalousie, la rage et l’humiliation, ils appellent souvent ces émotions “tristesse” ou “colère”. Le fait de sonder les émotions particulières qu’ils ressentent peut aider à démystifier l’expérience et à la rendre plus facile à gérer. Empathie : Pensez à un moment où vous avez vécu quelque chose de semblable. Par exemple, si votre enfant se sent gêné, pensez à la première fois que vous l’avez été et racontez cette histoire. Lorsque vous éprouvez de l’empathie, essayez d’utiliser ces trois mots simples mais puissants : “J’ai compris.”

28 semaines de grossesse : votre bébé a 7 mois !

Votre bébé a 28 semaines
Cette semaine, votre bébé pèse 2 1/4 livres (environ la taille d’une grosse aubergine) et mesure 14,8 pouces du haut de la tête jusqu’aux talons.

28 semaines : Votre bébé a à peu près la taille d’une grosse aubergine.
Elle peut cligner des yeux, ce qui est maintenant le sport des cils. Avec sa vue qui se développe, elle peut être capable de voir la lumière qui filtre à travers votre utérus. Elle développe également des milliards de neurones dans son cerveau et ajoute plus de graisse corporelle pour se préparer à la vie dans le monde extérieur.

Votre vie à 28 semaines de grossesse
Vous êtes dans la dernière ligne droite ! Le troisième et dernier trimestre commence cette semaine. À ce stade, vous visiterez probablement votre médecin ou votre sage-femme toutes les deux semaines. Puis, à 36 semaines, vous passerez à des visites hebdomadaires.

A l’intérieur de la grossesse : Semaines 28 à 37
Bienvenue au dernier trimestre ! Votre bébé peut voir la lumière et prend rapidement du poids en préparation à la naissance. Voir toutes les vidéos sur la grossesse
Selon vos facteurs de risque, votre fournisseur de soins de santé peut recommander de répéter les tests sanguins pour le VIH et la syphilis maintenant, ainsi que de faire des cultures pour la chlamydia et la gonorrhée, afin d’être certain de votre statut avant l’accouchement. De plus, si le résultat de votre test de dépistage du glucose était élevé et que vous n’avez pas subi de test de suivi, on vous fera bientôt passer le test de tolérance au glucose d’une durée de trois heures.

28 semaines de grossesse : quels symptômes ?
Et si les analyses sanguines effectuées lors de votre première visite prénatale ont montré que vous êtes Rh négatif, vous recevrez une injection d’immunoglobuline Rh pour empêcher votre corps de développer des anticorps qui pourraient attaquer le sang de votre bébé. (Si votre bébé est Rh positif, vous recevrez une autre injection d’immunoglobuline Rh après l’accouchement.

A cette époque, certaines femmes ressentent une désagréable sensation de “rampant” dans la partie inférieure de leurs jambes et une envie irrésistible de les bouger tout en essayant de se détendre ou de dormir. Si cette sensation est au moins temporairement soulagée lorsque vous bougez, il se peut que vous ayez ce qu’on appelle le syndrome des jambes sans repos (SJSR).

Personne ne sait avec certitude ce qui cause le SJSR, mais c’est relativement courant chez les femmes enceintes. Essayez de vous étirer ou de vous masser les jambes et de réduire votre consommation de caféine, ce qui peut aggraver les symptômes. Demandez à votre fournisseur de soins de santé si vous devriez essayer les suppléments de fer, qui peuvent parfois soulager le SJSR.

“Maintenant que c’est plus tard dans ma grossesse, je trouve que si je dors d’un côté ou de l’autre avec un oreiller sous le ventre, je peux passer la nuit.” Venece - Venece

En savoir plus sur : Prééclampsie

La prééclampsie est une maladie grave qui touche environ 5 % des femmes enceintes. Une femme est diagnostiquée avec la pré-éclampsie si elle a l’hypertension artérielle après 20 semaines de grossesse avec au moins un autre symptôme, qui peut inclure des protéines dans son urine ou du foie ou des anomalies rénales.

La plupart des femmes qui ont une prééclampsie développent des symptômes légers près de la date d’accouchement, et elles et leurs bébés s’en sortent bien avec des soins appropriés. Mais lorsque la prééclampsie est grave, elle peut affecter de nombreux organes et causer des problèmes graves, voire mortels. La seule façon d’aller mieux, c’est d’accoucher.

Quels sont les symptômes de la pré-éclampsie ?

La prééclampsie peut survenir soudainement, il est donc très important d’être conscient des symptômes. Appelez immédiatement votre sage-femme ou votre médecin si vous remarquez l’un de ces signes avant-coureurs :

Enflure du visage ou bouffissure autour des yeux, plus qu’un léger gonflement des mains ou un gonflement excessif ou soudain des pieds ou des chevilles. Gain de poids rapide - plus de 4 à 5 livres en une semaine. Céphalées graves ou persistantes Changements de la vision, y compris la vision double, la vision floue, les taches visuelles ou les lumières clignotantes, la sensibilité à la lumière ou la perte temporaire de la vision. Douleur ou sensibilité intense dans la partie supérieure de l’abdomen. Nausées et vomissements La prééclampsie peut survenir sans symptômes évidents, en particulier aux premiers stades de la grossesse, et certains symptômes peuvent ressembler à des plaintes normales de grossesse. Il se peut donc que vous ne sachiez pas que vous avez la maladie jusqu’à ce qu’elle soit découverte lors d’une visite prénatale de routine. C’est l’une des raisons pour lesquelles il est si important de ne pas manquer vos rendez-vous.

Qu’est-ce qui m’expose à un risque élevé de prééclampsie ?

Il est plus courant d’avoir une prééclampsie pour la première fois au cours d’une première grossesse. Cependant, une fois que vous avez eu la pré-éclampsie, vous êtes plus susceptible de la développer à nouveau dans les grossesses ultérieures. D’autres facteurs de risque comprennent :

Avoir une hypertension chronique Avoir certains troubles de la coagulation sanguine, le diabète, une maladie rénale ou une maladie auto-immune comme le lupus. Avoir un proche parent (une mère, une sœur, une grand-mère ou une tante, par exemple) qui a eu une pré-éclampsie. Être obèse (avoir un indice de masse corporelle de 30 ou plus) Porter deux bébés ou plus Avoir plus de 40 ans Y a-t-il un moyen d’éviter la pré-éclampsie ?

Personne ne sait avec certitude comment prévenir la pré-éclampsie, bien qu’il y ait beaucoup de recherches dans ce domaine. Un certain nombre d’études ont cherché à savoir si la prise de calcium supplémentaire, la restriction de l’apport en sel ou l’augmentation des vitamines peuvent aider, mais les résultats ont été mitigés.

Les femmes qui présentent un risque élevé de prééclampsie peuvent bénéficier d’une faible dose d’aspirine. Avertissement : Ne

La parentalité positive : Éduquer ses enfants pour les rendre heureux !

Qu’est-ce que la parentalité positive ?

Tous les parents sont aux prises avec ce problème. Si vous avez de jeunes enfants, vous savez que chaque jour peut être une lutte si votre enfant ne se comporte pas bien. Même les parents les plus patients et les plus attentionnés peuvent parfois ” perdre la tête ” lorsqu’ils font face à un petit humain défiant.

Considérez ceci : Un enfant d’âge préscolaire fait une crise de colère parce que papa a versé la sauce sur sa dinde au lieu de la laisser faire elle-même. Elle lève les mains en avant et en arrière, criant et pleurant pendant des heures. Par frustration, le père crie : “Arrêtez de crier MAINTENANT !”

Qu’est-ce que le parenting positif.jpgDoes it sound familier ? Je suis moi-même coupable d’avoir fait cela plus souvent que je ne voudrais l’admettre. Alors comment discipliner nos enfants sans tomber dans un tel piège “Faites ce que je dis, pas ce que je fais” ?

Bien comprendre les enjeux de la parentalité positive !

Voilà Positive Parenting. C’est une philosophie parentale et disciplinaire basée sur le travail des psychiatres viennois, Alfred Adler et Rudolf Dreikurs. Au cours des dernières années, la Dre Jane Nelsen Ed.D. a raffiné et défendu cette méthode dans sa célèbre série de livres et l’a bien fait connaître.

La discipline positive met l’accent sur le respect mutuel et utilise des instructions positives. Il met l’accent sur l’apprentissage (pour l’avenir) plutôt que sur la punition (du passé). Les études montrent constamment que l’utilisation d’une discipline positive donne de meilleurs résultats en termes de comportement de l’enfant, de croissance émotionnelle, de rendement scolaire et de santé mentale.

Voici 8 conseils pour pratiquer une discipline positive.

Conseil 1 : Concentrez-vous sur les raisons de l’action. Il y a toujours une raison pour laquelle les enfants se comportent mal, même si la raison peut sembler stupide aux parents. C’est raisonnable pour l’enfant et c’est pourquoi ils se comportent de cette façon. Si les parents peuvent s’attaquer directement à la cause, même s’ils n’obtiennent pas ce qu’ils veulent, les enfants auront le sentiment que leurs besoins sont reconnus. Ils peuvent alors passer à autre chose sans avoir besoin de mal se comporter. Ils sont peut-être encore grincheux, mais ils n’ont pas besoin d’agir une fois qu’ils se sentent compris.

Connaître la raison derrière peut aussi aider les parents à les éviter. Par exemple, un enfant a frappé son frère. La raison pourrait être que son petit frère lui a pris son jouet et qu’il était frustré. Donc, apprendre aux enfants à demander la permission avant de prendre les affaires de quelqu’un d’autre empêchera le problème de se poser.

Pourquoi la parentalité positive est une bonne solution ! Si votre enfant ne semble jamais vous écouter, c’est peut-être parce que vos attentes ne sont pas raisonnables. Est-ce que ce que vous demandez à votre enfant de faire/ne pas faire a une bonne raison ? Est-ce nécessaire pour le bien-être de votre enfant ?

Conseil n°2 : Discipline et discipline ferme Soyez aimable pour montrer comment être gentil et respectueux des autres. Les enfants apprennent en imitant les autres et les parents sont leurs principaux modèles. Lorsqu’un parent crie, humilie ou insulte un enfant, l’enfant apprend à faire de même lorsqu’il est contrarié. L’inverse est également vrai. Lorsqu’un parent est gentil et respectueux malgré le fait d’être bouleversé, l’enfant apprend à faire face aux difficultés avec calme et respect. La gentillesse aide aussi l’enfant à se calmer, à être réceptif au raisonnement et plus enclin à coopérer.

Etre gentil n’est pas la même chose que de céder. Beaucoup de parents assimilent à tort la gentillesse à la permissivité. Ce n’est tout simplement pas vrai. Vous pouvez dire fermement et gentiment à un enfant qu’il ne peut pas avoir ce qu’il veut. Il n’est pas nécessaire de crier, d’utiliser un ton méchant ou de parler d’une voix sévère. Un NON ferme et calme est aussi bon, sinon meilleur qu’un NON fort et méchant.

Soyez ferme dans l’établissement des limites et l’application des conséquences afin que l’enfant sache à quoi s’attendre et sur quoi baser ses décisions futures. Pratiquer la prise de décision de cette façon aide les enfants à développer leur pensée cognitive.

Conseil n°3 : Temps d’arrêt vous-même Oui, vous avez bien entendu. Vous devez prendre un temps d’arrêt vous-même quand c’est nécessaire. Il est inévitable que parfois les parents sont simplement épuisés et en colère par le comportement indiscipliné des enfants. Mais c’est le vrai moment à faire comme je le dis et comme je le fais si vous pouvez vous calmer et parler d’une manière respectueuse et ferme. Pensez-y, si quelque chose ne va pas dans le sens de votre enfant, voulez-vous qu’il explose, ou voulez-vous qu’il ait la capacité de contrôler ses propres émotions et de rester respectueux ?

Pour moi, cette stratégie de temps mort fonctionne très bien. Quand je sens que je suis sur le point de le perdre, je dis à mon enfant que j’ai besoin d’un moment seul parce que je suis bouleversé et ensuite je vais dans une autre pièce. Le fait de m’éloigner me permet de me rafraîchir et de me rappeler mon objectif en matière de discipline, qui est d’enseigner. Pendant que j’y suis, je prends quelques respirations profondes et je me vide l’esprit pendant une seconde. Cette technique du temps libre me donne aussi plus de temps et une certaine marge de manœuvre pour réfléchir à des façons de régler le problème. Quand je reviens, je suis rafraîchi et prêt à relever le défi à nouveau.

Conseil 4 : Soyez non punitif. Soyez créatif. Selon Positive Discipline : Les trois premières années par le Dr Jane Nelsen, la punition punitive produit quatre R qui n’aident pas un enfant à apprendre - le ressentiment, la rébellion, la vengeance et la retraite. Souvent, la punition ne peut pas arrêter le mauvais comportement.

Une réponse positive et non punitive est bien meilleure pour installer un enfant trop stimulé et l’engager dans l’apprentissage d’un nouveau comportement. L’une de ces réponses est d’utiliser un temps mort positif. Le temps mort positif diffère du temps mort conventionnel parce qu’il n’est pas punitif. Ce n’est pas une punition. L’enfant est retiré des stimuli qui créent ou aggravent le mauvais comportement et placé dans un endroit pour se rafraîchir et se sentir en sécurité.

Le nom complet du temps mort est Time Out From Positive Reinforcement, inventé par les psychologues du comportement, Arthur Staats, lorsqu’il élevait ses propres enfants. L’idée est de sortir l’enfant de l’environnement où se produit le comportement problématique pour enlever le renfort. Finalement, l’enfant finit par se calmer et apprend à diminuer ou à arrêter le comportement indésirable. Malheureusement, de nombreux parents l’utilisent à tort comme une forme de punition. Ils isolent et limitent les mouvements de l’enfant pendant le temps mort et ajoutent une punition secondaire en réprimandant et en donnant des leçons à l’enfant par la suite.

Pour utiliser correctement le temps mort, voici les points clés :

Indiquez clairement à l’avance vos attentes (ne pas frapper le chien) et les conséquences (temps mort). L’enfant a besoin de savoir qu’il peut choisir la conséquence par sa propre action. Ce processus l’aide à apprendre à faire des choix et à développer la pensée cognitive. S’il choisit d’adopter le comportement indésirable, dites-le-lui calmement ou emmenez-le dans un endroit calme et sûr. Ne l’insultez pas (vous êtes un mauvais garçon), ne le grondez pas, n’ayez pas l’air haineux ou ne soyez pas méchant avec lui. C’est-à-dire, soyez gentil et ferme lorsque vous utilisez le temps mort. Je laisse aussi mon enfant jouer avec des jouets ou se promener si cela l’aide à se calmer. Parfois, quand elle est très contrariée, je m’asseyais même pour la câliner. Rappelez-vous que ce n’est pas une punition. Par la suite, j’expliquais (pas de sermon) pourquoi son action précédente était inappropriée et je l’aidais à trouver une meilleure réponse la prochaine fois qu’elle a envie d’agir.

Un temps mort positif ne fonctionne pas dans toutes les situations. Il n’est pas facile de trouver une réponse positive à chaque situation. Positive Discipline A-Z : 1001 Solutions to Everyday Parenting Problems, également par Nelsen est plein de bons conseils et de recommandations sur la façon de discipliner positivement. Mais si vous êtes comme moi, vous ne pouvez probablement pas vous souvenir de toutes les 1001 solutions ou avoir toujours le livre à portée de main quand vous en avez besoin. Il est donc important d’être créatif et flexible.

5e conseil : Soyez clair, soyez cohérent et assurez un suivi. Décider et expliquer clairement les conséquences du non-respect des limites avant de les appliquer. De plus, les parents doivent être cohérents et les suivre de près. Si un parent n’est pas cohérent, il y aura de la confusion. L’enfant peut continuer à tester ou à remettre en question les limites pour voir ce qui peut arriver d’autre.

Pour aller jusqu’au bout des moyens, ne dites rien à moins que vous ne le vouliez vraiment. Par exemple, ne faites pas de menaces vides pour annuler le jeu de balle s’il se comporte mal, à moins que vous ne soyez prêt à l’exécuter lorsque cela se produit.

6e conseil : Comprendre le développement du cerveau et un comportement adapté à l’âge. Les enfants de moins de trois ans ne peuvent pas raisonner parce que la partie de leur cerveau (cortex préfrontal) responsable de la compréhension des conséquences et de l’exercice d’un bon jugement ne s’est pas encore développée. Ainsi, pour les enfants de ce groupe d’âge, la réorientation au lieu de raisonner ou de donner des conséquences devrait être utilisée.

Pour les enfants plus âgés, vous pouvez aider leur développement cognitif en raisonnant et en leur donnant des choix.

7e conseil : Faites-en une occasion d’apprentissage Lorsque les enfants sont assez vieux pour raisonner (plus de trois ans), chaque épisode de mauvaise conduite peut être transformé en une leçon de vie inestimable.

Par exemple, quelle est la leçon de casser un jouet ? Cela signifie que l’enfant ne peut plus jouer avec lui. S’il n’aimait pas le jouet, il aurait dû le donner à un ami ou le donner pour que les autres puissent en profiter. S’il a cassé un jouet par frustration, aidez-le à trouver d’autres moyens de libérer sa colère, par exemple en frappant un oreiller. C’est aussi une bonne occasion de lui donner des vocabulaires pour expliquer ses sentiments (“Je suis en colère parce que….”) plutôt que d’agir. Vous l’aidez à développer ses capacités de communication en même temps.

8e conseil : Soyez patient et ne désespérez pas. Une discipline positive ne produira probablement pas le changement de comportement que les parents souhaitent du jour au lendemain. Il ne s’agit pas d’obtenir des résultats rapides. Il s’agit d’enseigner un comportement que les parents veulent que leurs enfants imitent au fil du temps. Il faudra plus de temps pour voir des changements réels parce que les enfants ont besoin de répétitions pour apprendre. Il peut s’écouler des semaines ou même des mois avant que votre enfant ne commence à l’attraper. Mais lorsque cela se produira, ce sera très gratifiant et les avantages dureront toute une vie.

Avec de la patience et (beaucoup) de pratique, vous pouvez transformer des moments de discipline en leçons précieuses pour les enfants.

Aux maisons heureuses !

1 mois de grossesse : Le début d’un beau voyage !

1 mois de grossesse : Comment se sent-on ? Un petit être humain grandit en vous. Et les neuf mois à venir s’avéreront les plus heureux de votre vie. Mais vous aurez beaucoup de questions et beaucoup plus d’appréhensions dans votre esprit. MomJunction a mis au point un guide pour expliquer tout sur la grossesse du premier mois. Lisez ce qui suit pour comprendre les symptômes de votre grossesse au cours du premier mois, les changements auxquels vous pouvez vous attendre dans votre corps et la façon dont le fœtus grandit au cours de ce mois.

Quelles pourraient être les premières étapes de la grossesse ? Seules quelques femmes peuvent se rendre compte qu’elles sont enceintes quelques jours après la conception. Vous êtes susceptible de ressentir certains symptômes légers tels que la sensibilité des seins, la maladie et la fatigue au début de la grossesse. Et le premier signe proéminent de la grossesse est une période manquée (1).

Parrainé Si vous êtes observatrice, vous pouvez reconnaître les autres signaux que votre corps enceinte donne pour vous transmettre le message.

Symptômes de grossesse dans le premier mois : Les symptômes de la grossesse au cours du premier mois sont similaires à ceux de la pré-menstruation. Par conséquent, ils sont déroutants. Ceux-ci se produisent énormément en raison des hormones de grossesse libérées dans votre corps au moment de l’implantation (c.-à-d. lorsque l’embryon s’implante dans l’utérus). Voici les symptômes possibles que vous pourriez ressentir au cours du premier mois de grossesse.

  1. La période mensuelle s’arrête : Le fait de tomber enceinte affectera votre corps et le premier changement majeur dans votre routine est une absence de règles. Vous allez manquer vos règles parce que le corps commence à produire de l’hormone progestative après la conception.

  2. Repérage : Vous pouvez remarquer de légers saignements et crampes dus à l’implantation lorsqu’un ovule fécondé s’implante dans l’utérus. Cela se produit environ une semaine après la conception. Parfois, la tache est indolore, et vous ne pouvez l’observer qu’en essuyant vos parties génitales (2).

  3. Sautes d’humeur : Vous connaîtrez des changements d’humeur rapides au début de la grossesse. Vous pouvez commencer à pleurer ou à vous sentir anxieux sans raison particulière. Vous serez affectueux, et l’instant d’après, vous deviendrez accrocheur avec vos êtres chers. C’est à cause des hormones changeantes dans votre corps (3).

  4. Douleur des seins : Vos seins sont douloureux et douloureux. Les mamelons sont plus foncés et il y a de petites bosses sur l’aréole. Il y aura des veines visibles sur vos seins. Ces symptômes sont semblables à ceux que vous avez pendant la période pré-menstruelle.

Lire : Comment réduire la douleur mammaire pendant la grossesse ?

  1. Fatigue : Votre niveau d’énergie diminue, et vous vous sentez fatigué alors que votre corps travaille dur pour développer votre bébé. Par conséquent, vous développerez de la fatigue et de l’insomnie.

  2. Miction fréquente : L’augmentation du taux de progestérone améliore le flux sanguin vers l’utérus et provoque l’épaississement de la muqueuse utérine. Il s’agit de protéger et d’aider à la croissance et au développement du bébé. Au cours de ce processus, vos reins prennent de la taille et travaillent des heures supplémentaires pour gérer l’augmentation des liquides corporels. Ceci conduit à une sensation de plénitude et augmente votre envie d’uriner.

  3. Les nausées matinales : Elle est associée à des nausées et des vomissements que vous ressentirez dès la troisième semaine de grossesse. Bien qu’on l’appelle maladie du matin, elle peut survenir à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit.

  4. Les fringales/aversions alimentaires : La plupart des femmes ont des envies et des aversions alimentaires. Les aliments que vous avez aimés une fois peuvent s’avérer répugnants et ceux que vous n’avez jamais aimés peuvent être vos préférés.

  5. Brûlures d’estomac : Les altérations hormonales et physiques dans votre système corporel pendant la grossesse causent des symptômes comme les brûlures d’estomac et le reflux acide qui sont temporaires. Vous ressentirez de nouveau ces symptômes au cours du troisième trimestre lorsque le bébé en pleine croissance poussera l’estomac et les intestins.

Lire : Remèdes à la maison pour traiter les brûlures d’estomac pendant la grossesse ]

  1. Constipation : L’hormone progestérone a des propriétés relaxantes musculaires qui ralentiraient trop les choses. La nourriture, par conséquent, passe lentement à travers l’intestin et conduit à la constipation.

  2. Étourdissements : Un autre effet secondaire de l’hormone progestérone est qu’elle vous donne le vertige, ce qui détend vos vaisseaux sanguins et provoque une baisse de la tension artérielle.

  3. Fort sens de l’odorat : C’est un autre signe courant de grossesse à cause des hormones. Vous pouvez commencer à détester l’odeur de certains aliments, boissons ou articles de toilette.

  4. Augmentation de l’appétit : Les douleurs de la faim chez la femme enceinte sont courantes. Ne soyez pas surpris si vous avez tout le temps faim.

  5. Maux de dos : Les douleurs dorsales dans la région lombaire pourraient être sévères parce que l’hormone progestérone libère les ligaments qui recouvrent le bassin.

  6. Maux de tête : Vous souffrirez de maux de tête fréquents au début de la grossesse. Le stress, les hormones et l’augmentation du volume sanguin pourraient être les facteurs responsables d’un mal de tête au cours du premier trimestre.

  7. Grive : Il s’agit d’une infection à levures provoquée par les hormones de grossesse, qui altèrent l’équilibre naturel des bactéries dans la région vaginale (4).

Au cours du premier mois, les symptômes sont subtils. Si vous avez hâte de connaître votre grossesse, combinez ces symptômes avec les changements qui se produisent dans votre corps.

Changements corporels au cours du premier mois de grossesse :

Il se peut que vous ne remarquiez aucun changement significatif dans la taille et la forme de votre corps au cours du premier mois de gestation. Quelques changements corporels que vous pouvez expérimenter sont :

Le développement de votre bébé au cours du premier mois :
Elle commence par la conception puis la formation jusqu’à la quatrième semaine de grossesse (5).

Fertilisation : La vie commence lorsque les spermatozoïdes et l’ovule s’unissent. Elle peut se produire dans les deux à trois jours suivant le rapport sexuel. C’est à ce moment que le bébé commence le voyage de développement. Au début, le bébé est appelé zygote qui commence à se multiplier à profusion en quelques instants. Implantation : Le zygote voyage jusqu’à l’utérus à partir de la trompe de Fallope et, le quatrième jour, il se divise en un amas de cellules solides appelées morula. Au cinquième ou sixième jour, la morula se divise en un blastocyste, et en quelques jours, l’implantation se produit alors qu’elle se niche dans la paroi de l’utérus (utérus) pour attirer la nourriture. Autour de l’embryon se trouve le sac vitellin, une grappe de vaisseaux sanguins qui fournit du sang à l’embryon jusqu’à ce que le placenta prenne le relais. En développement : Entre la troisième et la quatrième semaine, le cœur en développement commence à battre. Les bras, les jambes et les bourgeons pulmonaires se forment. Le visage, y compris les yeux, le nez, les oreilles et la bouche prennent une forme. Le tube neural et le cerveau prennent également une forme. Votre bébé aura la taille d’un raisin sec, c’est-à-dire moins de trois quarts de pouce de long.

Votre visite chez le médecin / Diagnostic de grossesse :

La grossesse peut être la période la plus déroutante, surtout si vous êtes enceinte pour la première fois. Vous pouvez le confirmer par un test à domicile en achetant la trousse dans une pharmacie. Si vous êtes encore confus, ou si les résultats semblent être négatifs, rendez visite à votre gynécologue pour confirmation. Il s’agit de s’assurer que les symptômes que vous ressentez ne sont pas de fausses alarmes.

Voici ce qui se passe à la clinique d’un médecin :

  1. Antécédents et examen physique : Votre médecin cherchera à obtenir des renseignements sur vos dernières menstruations, le débit, la durée et la fréquence de vos menstruations. Assurez-vous de donner tous les détails exacts. Si vous avez utilisé des contraceptifs, dites-le à votre médecin. Le médecin fera un test physique pour savoir si vous avez eu des manipulations tubaires et des maladies tubaires, des ligatures tubaires, des maladies inflammatoires et des grossesses extra-utérines dans le passé. Les tests physiques révèlent si la femme a utilisé des dispositifs intra-utérins pour la contraception et a suivi des thérapies de fertilité. Les tests chimiques et l’échographie aident à détecter la grossesse avant même que les symptômes comme la nausée commencent à se manifester.
  2. Évaluation en laboratoire : Certaines hormones sont mesurées pour diagnostiquer la grossesse.

Un échantillon d’urine est souvent utilisé pour vérifier la gonadotrophine chorionique humaine (hCG), qui est un déterminant clé de votre grossesse. Si les résultats des tests ne sont pas satisfaisants, des échantillons de sang sont prélevés pour détecter l’hormone. Les niveaux de hCG déterminent également si vous avez une grossesse extra-utérine. Si les niveaux de hCG sont faibles ou augmentent lentement, il détecte une grossesse anormale comme une grossesse extra-utérine ou un avortement (6). Si les niveaux de hCG sont élevés, vous êtes susceptible d’avoir une grossesse molaire, une anomalie chromosomique et des gestations multiples. La mesure de la progestérone sérique est importante pour détecter le risque d’une grossesse anormale précoce (7). Une jauge ELISA est efficace pour déterminer le niveau de progestérone. Le facteur de grossesse précoce est une protéine immunosuppressive qui est isolée juste après la conception et qui aide à indiquer la fécondation.

  1. Ultrasonographie : L’échographie transvaginale (TVUS) a rendu la détection de la grossesse facile et efficace. C’est la meilleure méthode pour détecter la grossesse intra-utérine et le diabète gestationnel qui se produit habituellement pendant le premier trimestre (8). Les sondes vaginales sont plus efficaces que les sondes abdominales car la fréquence est plus élevée et la résolution de l’image est meilleure.

Le premier mois de grossesse précoce/ La liste des choses à faire : Une fois que votre grossesse est confirmée, prenez soin de vous, prenez soin d’une gardienne et planifiez un budget pour bébé.

Commencez vos soins prénatals : C’est le moment de commencer à prendre des vitamines prénatales, surtout des suppléments d’acide folique. Il est préférable de prendre des suppléments d’acide folique à partir du moment où vous commencez à planifier votre grossesse et jusqu’à la fin de la grossesse.

L’acide folique aide à prévenir les anomalies du tube neural comme le spina bifida chez les bébés et assure une grossesse sans danger. Enquêter sur l’assurance-maladie : Trouvez un plan d’assurance santé efficace qui couvre à la fois les soins prénatals et les frais d’accouchement. L’assurance doit également couvrir le coût du nouveau-né. Si vous travaillez avec une entreprise, communiquez avec le service des ressources humaines ou des avantages sociaux pour connaître la couverture d’assurance et les avantages liés à la maternité offerts par votre entreprise. Un plan financier sain est essentiel avant l’accouchement. Choisissez un soignant : Si vous avez déjà un fournisseur de soins bien informé sur la grossesse et l’accouchement, vous êtes prêt. Si ce n’est pas le cas, parlez-en à vos parents et amis et trouvez quelqu’un qui a de l’expérience dans l’accouchement et les soins de grossesse. Vous devez être entre de bonnes mains pour éviter toute complication. Prenez un rendez-vous prénatal : Apprenez à connaître tous les soignants disponibles puisque les rendez-vous se remplissent rapidement. Une fois que vous avez choisi votre fournisseur de soins, prenez rendez-vous immédiatement. Parfois, les soignants ne vous donnent pas de date avant que vous ne soyez enceinte de huit semaines. Notez le premier jour de vos dernières règles ; cela aidera votre soignant à calculer la date d’accouchement prévue. Vous devriez faire une liste de questions relatives à votre état.

Vous devriez également informer la personne soignante des antécédents médicaux de votre famille, afin qu’elle prenne note des maladies chroniques et des anomalies génétiques, le cas échéant, qui existent dans votre famille.

Consultez le soignant au sujet des médicaments que vous prenez : La plupart des médicaments en vente libre ne sont pas sûrs pendant la grossesse. Évitez l’automédication. Consultez votre médecin pour savoir ce qu’il ne faut pas avoir pendant la grossesse. Supposons que vous ayez besoin d’un médicament pour une maladie chronique, appelez immédiatement votre soignant. Lire : Régime de grossesse du 2e mois ]

Un soignant ou une sage-femme patient et amical est un atout. Faites un tableau d’affichage de grossesse et collez toutes les choses à faire et à ne pas faire pour ne sauter aucune d’entre elles. Vous pouvez tenir un journal avec tous les développements, les changements physiques et psychologiques en cours. Ce peut être un souvenir après la naissance de votre enfant et vous sourirez aussi à ces moments difficiles ! Après tout, la grossesse apporte un peu de bonheur en même temps que la douleur ; elle crée des souvenirs précieux.

Tenir un journal est aussi méthodique parce que votre soignant comprendra vos problèmes et vous donnera un traitement efficace.

Précautions à prendre pendant le premier mois de grossesse - Que faire et ne pas faire ? Il est temps de vous concentrer sur votre style de vie car le premier mois est une période sensible dans la vie du bébé.

Que faire en début de grossesse ?

Faites de l’exercice régulièrement : De légers exercices et activités feront fonctionner votre système normalement. La marche est la meilleure séance d’entraînement car elle ne causera aucune tension sur votre corps. Vous pouvez également participer à un cours spécial de yoga pour les futures mamans. Quelle que soit l’activité que vous envisagez de faire, discutez avec votre gynéco pour que cela vous aide à mieux vous guider. [Lire : Exercices pour l’accouchement normal ]

Mangez des aliments riches en fibres : Il est important d’avoir une alimentation équilibrée. Essayez de ne pas trop manger ; même votre nourriture préférée doit être prise en quantité limitée. Inclure des aliments riches en fibres car ils facilitent la constipation et régularisent les fonctions de l’estomac. Prenez des germes, des céréales, des épinards et des légumineuses dans votre alimentation. Prenez de petits repas plusieurs fois par jour, car cela vous aidera à rester rempli, en forme et en bonne santé. Mangez des fruits comme les fraises, qui sont riches en acide folique. Buvez plus d’eau : Vous devriez boire de huit à dix verres d’eau par jour. Restez hydraté afin que votre corps ne soit pas sous-alimenté. Avoir un esprit sain : Vos émotions et votre humeur ont un impact sur le bien-être émotionnel du bébé. Par conséquent, restez calme, confiant et heureux. La méditation est la meilleure façon d’apporter une telle positivité autour de vous et en vous. Vous pourriez le pratiquer au moins une heure par jour. Augmenter le nombre d’heures de sommeil : Votre corps subit de nombreux changements physiques et hormonaux. Pour que ces changements se produisent en douceur et pour que vous n’ayez pas un impact soudain des conditions changeantes, dormez paisiblement pendant longtemps. Infection à levures : La candidose vaginale est une infection courante chez les femmes enceintes. Cela se produit en raison de niveaux élevés d’œstrogènes et d’une teneur plus élevée en glycogène dans les sécrétions vaginales. Maintenir l’hygiène vaginale et prendre des probiotiques tels que les lactobacillus acidophilus acidophilus serait utile (9). Il ne suffit pas de suivre les pratiques ci-dessus. Vous avez aussi besoin de défaire certaines habitudes.

Que ne pas faire en début de grossesse ?

Maintenant que nous avons trié les choses à faire, il est temps de se concentrer sur ce qu’il ne faut pas faire pendant le premier mois de grossesse.

Ne paniquez pas : Souhaitez-vous ne pas avoir planifié un bébé trop tôt ? Vous craignez que votre bébé ait des anomalies ? De telles pensées et craintes sont courantes pour une future maman, mais vous devriez les éviter, car de telles pensées auront un effet direct sur votre bébé. Alors arrêtez de paniquer et joignez-vous à la méditation, aux cours de yoga ou consultez votre médecin pour trouver des solutions.

Arrêtez la malbouffe : La malbouffe augmente votre poids et affaiblit le système immunitaire. Les graisses non désirées peuvent entraîner des complications pour la santé de la mère et du bébé. Il peut également affecter votre tension artérielle et votre taux de sucre. [Lire : Aliments à éviter pendant la grossesse ]

Ne consommez pas d’alcool : La consommation d’alcool au cours du premier mois de grossesse peut affecter la croissance du fœtus. Elle peut causer des anomalies congénitales et, plus tard, entraîner des difficultés d’apprentissage chez l’enfant. Arrête de fumer : Le tabagisme est dangereux, car il entraîne de nombreuses complications, notamment un faible poids à la naissance et des problèmes respiratoires chez le bébé. Le tabagisme passif est également dangereux. Ne portez pas de vêtements serrés et de talons hauts : Votre corps subit des changements, et il est nécessaire de donner à votre corps de l’espace pour respirer. Gardez donc de côté tous les vêtements serrés pendant un certain temps et portez des robes amples. Portez des chaussures plates et confortables pour éviter de trébucher. Évitez de voyager sur de longues distances : Les chances de fausse couche sont les plus élevées au cours du premier mois. Voyager pendant le premier trimestre pourrait exercer une pression indue sur votre grossesse en plus de causer des nausées matinales. Évitez les saunas et les bains tourbillons : Il s’agit de rester dans des températures supérieures à la température normale du corps. Des températures plus élevées affecteront le développement du fœtus. Ne pas plier et soulever des poids : Ne transportez pas d’objets pesant plus de 20 livres. La limite diminue au fur et à mesure que la grossesse progresse, car elle peut exercer une pression sur le bébé en développement. De plus, ne vous pliez pas lorsque vous effectuez des tâches ménagères, car cela peut causer des étourdissements. [Lire : Symptômes de l’implantation de grossesse]

D’autres précautions et préoccupations :

Conseils pour les pères :
Les hommes ne réagissent pas toujours à la grossesse de la même façon que les femmes. La majorité d’entre eux sont débordés alors que les autres ont peur de perdre l’affection de leur partenaire. Il faut du temps pour que les nouvelles tombent. Si vous traversez l’une de ces émotions en ce moment, détendez-vous, car c’est normal. Mais ne parlez pas trop fort de vos peurs, car vous n’avez aucune idée de ce que pense votre partenaire. Derrière l’extérieur calme et composé, il pourrait y avoir une mère pétrifiée par l’imminence de la grossesse. Voici quelques choses à faire ce mois-ci :

  1. Finissez la paperasse : Comment fonctionne l’assurance maladie ? Quel est le régime qui obtient la meilleure couverture ? Que se passe-t-il lorsque votre femme décide de quitter son emploi ? Vérifiez tout pour éviter toute confusion financière.

  2. Lisez sur la grossesse : Contrairement aux hommes d’autrefois, vous ne pouvez pas laisser tout le fardeau de la grossesse à votre partenaire. Renseignez-vous sur les changements physiologiques et psychologiques qu’une femme enceinte subit. Apprenez à connaître les progrès de votre bébé au fil des semaines. Et si votre femme est susceptible de souffrir d’un problème de santé, parlez-en au médecin pour savoir comment vous pouvez l’aider. Votre partenaire est la meilleure personne pour vous dire comment vous pourriez vous impliquer.

  3. Faites preuve de patience face à ses idiosyncrasies : Les femmes enceintes sont connues pour avoir d’étranges envies de nourriture, qu’il s’agisse de cendre de cigarette ou de nourriture salée. Les changements hormonaux et les carences nutritionnelles les amènent à faire des choix alimentaires bizarres. Elle peut parfois se réveiller au milieu de la nuit parce qu’elle a faim ou parce qu’elle n’a pas pu manger toute la journée en raison de nausées. Faites-lui plaisir en faisant des provisions de choses qu’elle aime.

Le voyage ne fait que commencer et le chemin à parcourir est encore long. L’expérience est épuisante, mais au bout de neuf mois, vous réaliserez que toutes vos douleurs en valent la peine. Vous oublierez vos difficultés dès que vous aurez le premier contact peau à peau avec votre bébé.

Vous avez une expérience à partager ou une question à poser ? N’hésitez pas à nous écrire dans la section commentaires.

6 mois de grossesse : à quoi s’attendre ?

Donc, c’est le dernier mois de votre deuxième trimestre ; et votre dernier trimestre est sur le point de commencer. Comme votre date d’accouchement se rapproche, il y a beaucoup de choses qui descendent au 6e mois ! Qu’est-ce que c’est ? Eh bien, lisez notre article et découvrez les différents changements que votre bébé et le corps subissent lorsque vous êtes enceinte de six mois.

6 mois Symptômes de grossesse :
Avec les nausées matinales et d’autres symptômes à l’arrière, vous imaginez peut-être une grossesse détendue, n’est-ce pas ? Pour être honnête, vous allez mettre les pieds en l’air, mais pas pour vous détendre ! Voilà pourquoi :

Œdème :
Vers le 6e mois, vous remarquerez que vos pieds, vos chevilles et vos mains semblent gonflés. Techniquement appelé œdème ; il se produit parce que le corps retient le liquide à l’intérieur des tissus pour vous nourrir, vous et votre bébé. Avec l’augmentation de la pression sur le bassin, l’œdème entraîne un gonflement des chevilles et des mains. Un léger gonflement est normal et un symptôme courant associé à la grossesse. Parfois, vous remarquerez un gonflement du visage ou autour des yeux - idéalement, il n’y a rien à craindre. Mais, dans de rares cas, l’enflure (surtout lorsqu’elle s’accompagne d’autres symptômes comme des taux élevés de protéines dans l’urine et l’hypertension artérielle) est un signe de pré-éclampsie. Il s’agit d’une maladie grave qui peut entraîner des pics de tension artérielle. Pour éviter l’œdème, n’oubliez pas de garder les pieds en l’air lorsque vous vous asseyez. Évitez de rester debout pendant de longues périodes et de porter des vêtements serrés, y compris des chaussettes et des bas. Les médecins conseillent également aux patients de dormir sur le côté pour aider les reins à éliminer efficacement les déchets.

Indigestion :
La constipation est un symptôme ennuyeux que certaines femmes ressentent pendant leur grossesse. Selon le stade de votre grossesse, il y a plusieurs raisons pour lesquelles elle se produit. D’une part, les changements hormonaux détendent les muscles autour des intestins, ce qui ralentit la digestion. Au fur et à mesure que votre grossesse progresse, la croissance de l’utérus exerce une pression sur l’intestin et provoque une indigestion. Les pilules de vitamines prénatales resserrent également les selles, vous laissant une sensation de ballonnement et de gaz. C’est un symptôme courant, mais vous n’avez pas à vous résigner pour vivre avec le problème - de peur qu’il n’entraîne des hémorroïdes. Des mesures simples comme boire de l’eau chaude régulièrement, manger beaucoup d’aliments riches en fibres, boire beaucoup de liquides et faire régulièrement de l’exercice, aident à soulager l’indigestion et les brûlures d’estomac (un autre symptôme courant). Le caillé et d’autres aliments riches en bactéries probiotiques aident aussi. Et lorsqu’aucun de ces remèdes à domicile ne fonctionne, parlez-en à votre médecin qui pourra vous prescrire des émollients et des laxatifs.

Augmentation de l’appétit :
Bien que les organes du bébé soient maintenant développés, ils ont besoin de mûrir. L’organisme doit fournir suffisamment de nutriments pour faciliter le processus. C’est probablement la raison pour laquelle les femmes enceintes connaissent une augmentation de l’appétit vers le deuxième trimestre. Le mois aussi n’est pas différent. Vous pouvez vous retrouver perpétuellement affamé et en manque de nourriture. Bien qu’il n’y ait rien que vous puissiez faire pour contrôler votre envie de manger, assurez-vous de manger sainement. La malbouffe est rassasiée, mais ne fournit que peu d’éléments nutritifs pour vous et le bébé. Au lieu de cela, laissez-vous tenter par des aliments comme le fromage et les muffins à grains entiers - ils sont à la fois satisfaisants et sains. Et avant d’aller chercher de la nourriture quand vous avez faim, essayez de boire de l’eau - vous pouvez interpréter la soif de faim. Plutôt que de manger trois repas carrés, songez à prendre six petits repas tout au long de la journée.

Ronflement :
Au fur et à mesure que votre grossesse progresse, le ronflement devient un symptôme courant. Vos hormones de grossesse sont de nouveau à blâmer - elles font gonfler les muqueuses. Le gain de poids induit également le ronflement, car les tissus autour de la tête et du cou gonflent. Bien qu’il n’y ait rien à craindre, le ronflement peut parfois être un indicateur de diabète gestationnel, que les médecins peuvent détecter pendant les analyses mensuelles de sang et d’urine. Essayez de coller une bandelette nasale en allant au lit ou en dormant sur le côté pour permettre une meilleure circulation de l’air. Garder la tête en position élevée aide aussi.

Maux de dos :
Un mal de dos est un symptôme qui risque de rester avec vous jusqu’à l’accouchement et qui est l’un des symptômes les plus courants de la grossesse. L’hormone de grossesse relaxine détend les muscles autour de la région pelvienne et du bas de l’abdomen pour préparer le corps à l’accouchement. Le poids du bébé et la croissance de l’utérus poussent votre estomac vers l’avant et provoquent une courbure du bas du dos. Assurez-vous de maintenir une bonne posture en position assise et de lever les pieds chaque fois que c’est possible. Les femmes qui ont l’habitude de croiser les jambes ressentent également un mal de dos pendant la grossesse, car la région pelvienne est très sollicitée. Un gain de poids inhabituel entraîne également des maux de dos, tout comme le port de talons aiguilles.

Changements corporels :
Maintenant, la bosse commence à se manifester. Vous avez aussi pris beaucoup de poids. L’utérus s’élève généralement d’environ un pouce au-dessus du ventre. Il pousse également l’abdomen, ce qui fait sortir votre nombril.

La croissance de l’utérus a également exercé une pression énorme sur les cellules sanguines, vous laissant parfois évanoui et étourdi.

Préoccupations communes :
Chaque mois, il y a de nouveaux symptômes à gérer - et ils ne sont pas tous agréables ! Certaines des préoccupations communes de 6 mois de grossesse incluent :

Insomnie :
L’insomnie ou l’insomnie affecte souvent les femmes au cours de leur troisième trimestre, mais pour certaines d’entre elles, elle commence à partir de la deuxième moitié du deuxième trimestre. De nombreux facteurs contribuent au problème. Par exemple, les visites fréquentes à la salle de bain perturbent votre sommeil. Et si ce n’était pas assez, le bébé donne un coup de pied vers le haut d’une tempête dans votre ventre vous laissant agité. Les changements hormonaux et les brûlures d’estomac rendent également difficile pour vous d’attraper une bonne nuit de sommeil. En outre, il ne peut jamais être confortable de dormir avec un ballon de football attaché au ventre. Mais la gestion de l’insomnie est plus facile que vous ne le pensez si vous vous souvenez de quelques éléments clés. Par exemple, mangez votre dîner au moins deux heures avant le coucher et n’oubliez pas de manger lentement. Non seulement il éloigne les brûlures d’estomac redoutées, mais il vous aide aussi à mieux dormir. Évitez la caféine et les boissons gazeuses, car elles vous empêchent de dormir. Suivez un rituel à l’heure du coucher en lisant un livre, en écoutant de la musique apaisante ou en prenant un bain chaud. Un lit confortable et la bonne température ambiante induisent également le sommeil.

Maux de corps :
Au fur et à mesure que la grossesse progresse, vous pouvez observer que votre corps vous fait souffrir et vous laisse fatiguée et fatiguée. Techniquement appelée douleur ligamentaire ronde, elle est due à la croissance de l’utérus. Au fur et à mesure de son expansion, les ligaments qui s’étendent de la région pelvienne jusqu’à l’abdomen sont étirés et soumis à une pression énorme. Elle provoque des douleurs ternes autour du bas-ventre. La douleur peut durer de quelques minutes à quelques heures. Idéalement, il n’y a rien à craindre, mais contactez le médecin si les maux de corps sont suivis de fièvre ou de contractions fréquentes.

Veines variqueuses :
Nous savons maintenant que le corps doit pousser du sang supplémentaire vers l’utérus pour fournir suffisamment d’éléments nutritifs au bébé en pleine croissance. Certains des effets secondaires indésirables de ce médicament incluent les varices - les veines légèrement gonflées et violacées qui apparaissent sur la moitié inférieure du corps. Les veines qui doivent repousser l’excédent de sang vers le cœur, ce qui provoque des varices. Ils sont aussi héréditaires ; donc si votre mère les avait, il y a de fortes chances que vous en aurez aussi ! Si vous êtes sujet au problème, il y a peu de choses que vous pouvez faire, mais quelques conseils peuvent aider à les prévenir. Par exemple, n’oubliez pas de mettre les pieds en l’air chaque fois que c’est possible et évitez de vous asseoir les jambes croisées. L’exercice régulier contribue également à éviter les varices. N’oubliez pas de porter des vêtements confortables (surtout des sous-vêtements) et des chaussures. Gagner trop de poids trop tôt ajoute aussi au problème.

Sensation de picotement dans les mains et les jambes :
L’augmentation du flux sanguin exerce une pression sur les mains et les pieds, vous laissant une sensation de picotement. C’est vrai pour les femmes qui ont un emploi de bureau ou qui passent de longues heures devant l’ordinateur. Étirez fréquemment vos mains pour vous soulager de la douleur. Évitez de dormir sur votre main et n’oubliez pas de les secouer régulièrement.

Le bébé pendant le 6e mois de grossesse :
Comment se développe le développement du bébé à 6 mois ? Le bébé continue de grandir rapidement ce mois-ci, non seulement en prenant du poids, mais aussi en longueur. Sa peau devient rosée à cause des vaisseaux sanguins qui se forment sous la peau. Les poumons continuent de mûrir bien qu’il y ait beaucoup de temps avant qu’il soit prêt à respirer. Il sera très actif et réagira au son. Si vous voulez savoir comment votre bébé réagit à votre voix (ou à celle de votre partenaire), c’est le moment. Le bébé continue également à développer le vernix caséose-il s’agit d’un petit manteau cireux qui protège sa peau du dessèchement tout en flottant au milieu du liquide amniotique. À la fin du mois, les ongles des doigts et des orteils de votre bébé sont développés et même visibles à l’aide d’une échographie.

Diète :
Tant que vous mangez un repas équilibré et que vous évitez la malbouffe, tout devrait aller bien sur le plan de l’alimentation. Le fœtus a besoin d’acide folique, de fer et de calcium pour devenir un bébé en bonne santé. Alors que l’acide folique aide votre corps à produire le sang supplémentaire nécessaire pour fournir les nutriments, le fer contribue à prévenir l’anémie et à transporter l’oxygène des poumons au reste du corps (et au bébé). Le calcium renforce les os de votre bébé. L’acide folique et le fer peuvent être recherchés dans les légumes à feuilles vertes et le calcium dans les produits laitiers. Les fruits frais et les noix fournissent les doses supplémentaires de vitamines et de minéraux nécessaires à l’organisme (1).

Sur votre esprit :
Planifier l’arrivée imminente du bébé peut vous occuper l’esprit ce mois-ci. C’est si vous avez encore de l’énergie après la douleur et l’inconfort qui causent les symptômes. Vous avez peut-être aussi commencé à tenir un registre des choses dont vous avez besoin pour le bébé. Avec tous les gadgets et gadgets de fantaisie qui existent maintenant, vous pourriez être tenté d’acheter quelques choses dont vous n’avez pas besoin.

Vous pourriez aussi envisager d’entreprendre une courte tournée avant la livraison - le voyage est considéré comme sécuritaire au cours du deuxième trimestre.

Conseils pour les pères :
Il n’y a aucun doute que la grossesse est accablante pour vous, mais pensez aussi à votre partenaire. Il a les mêmes craintes et doutes que vous avez le bébé. En fait, contrairement à vous, il ne partage ses préoccupations avec personne, à cause du tabou ” les hommes ne sont pas censés se plaindre “. Mais vous pouvez le préparer au travail et à la parentalité en lui disant exactement comment il peut aider. Faites-lui connaître le type d’assistance spécifique que vous aimeriez avoir pendant le travail. Ça l’aidera à prendre des décisions médicales difficiles. Lui dire quoi faire pour que vous vous sentiez spécial peut sembler étrange (il est censé savoir que c’est ce que vous pensez), mais malheureusement, les hommes sont doués pour ” suivre ” les instructions - c’est juste câblé en eux !

Liste de choses à faire :
Choisir un nom pour votre bébé peut vous occuper pendant le sixième mois de grossesse. Cherchez-vous à honorer un parent (père, mère, grands-parents) en donnant leur nom à votre enfant ? Ou, êtes-vous à la recherche d’un nom fantaisiste et jamais pensé ? Avant de penser à un nom non conventionnel, pensez à ses implications pour votre enfant - vous ne voulez pas qu’il soit la cible de la plaisanterie de tout le monde à cause de son nom. Il y a aussi d’autres considérations pratiques comme la planification des banques de sang de cordon ombilical ou l’ouverture d’une banque de sang de cordon ombilical pour assurer l’avenir de l’enfant.

Au bureau du docteur :
En plus du test sanguin habituel, vous serez également testé pour le diabète gestationnel. On vous demandera d’avaler une canette de glucose, puis le sang sera prélevé exactement au bout d’une heure. Si les tests révèlent des niveaux élevés de sucre, le médecin peut vous appeler pour une deuxième série de tests. Ceci inclut quatre dessins différents avant de vous diagnostiquer pour le diabète gestationnel.

Les expériences que nous mentionnons ci-dessus sont basées sur quelques expériences générales pendant les 6 mois de grossesse. Chaque grossesse est différente ! Alors, dites-nous comment c’était pour vous ? Partagez vos histoires avec nous ici, laissez un commentaire ci-dessous ! Les autres mamans aimeraient avoir de vos nouvelles.

Education positive : c’est quoi ? L’éducation positive ou repenser la relation parent-enfants En vogue depuis quelques années, l’éducation positive vise à repenser la relation qu’entretiennent les enfants et les parents. Dans ce modèle d’éducation, le développement de l’enfant est placé au centre des enjeux. L’objectif est de le responsabiliser très tôt en lui donnant des clés pour apprendre à se construire. La discipline positive, méthode d’éducation basée sur l’encouragement et la valorisation, a été créée par Jane Nelsen docteur en psychologie aux Etats-Unis. Appelée également éducation bienveillante, la Discipline Positive propose aux parents, aux enseignants et aux éducateurs un ensemble d’outils et une méthode ni permissive ni punitive qui permet de développer chez l’enfant l’auto discipline, le sens des responsabilités, l’autonomie, l’envie d’apprendre, le respect mutuel, etc. Dans cette méthode, l’autorité s’exerce sans soumission, en conciliant fermeté et bienveillance. Les punitions sont ainsi mises de côté car selon Jane Nelsen, elles sont uniquement efficaces à court terme, contrairement aux sanctions qui donnent un sens des responsabilités et du respect des règles. Cette méthode s’appuie sur l’écoute des émotions, l’expression des besoins, la gestion des conflits sans gagnant ni perdant et la coopération. Pour Isabelle Filliozat, conférencière et formatrice en éducation positive « Derrière une réaction inappropriée se cache un besoin. Nos interprétations guident notre comportement. Il est donc fondamental de mieux comprendre les motivations des enfants. ». Les objectifs selon Jane Nelsen Aider les enfants à avoir le sentiment d’être connectés et développer le sentiment d’appartenance et d’importance. Se baser sur le respect mutuel et l’encouragement avec à la fois bienveillance et fermeté. Etre efficace à long terme. Enseigner des compétences sociales et des compétences de vie importantes : Le respect, l’attention aux autres, la résolution de problèmes et la coopération ainsi que la capacité à participer à la vie de la famille, de l’école ou de la communauté au sens large. Inviter les enfants à découvrir leurs capacités et développer ainsi leur autonomie et leur estime de soi. Source : bloghoptoys Propreté, respect, politesse, comment se faire obéir sans cris ni colères par nos enfants ? Parentalité bienveillante et éducation positive sont les mots d’ordre de l’ouvrage “Kit pour une éducation positive” de Vanessa Saab Un livre qui apprend aux parents comment faire obéir leurs enfants sans faire appel à la violence ou aux cris. L’éducation positive permet aux parents dépassés par les colères de leurs petits, de gérer correctement des situations de crise et éviter que cela se reproduise. Cela passe par des temps calme, des temps de méditation, en évitant les punitions et les privations. Mais problème : comment faire pour que vos enfants obéissent en s’amusant ? Souvent, lorsque les parents commencent à parler de “l’heure du coucher” ; “le brossage de dents”, etc, les enfants ont tendance à fuir ou à piquer une crise. L’éducation positive Etre parent peut être tant une bénédiction qu’un cauchemar quand l’éducation est source de conflit. L’éducation positive prône le lâcher prise. De plus, elle permet aux parents de redevenir des exemples plutôt que des tyrans, en travaillant sur leurs blessures d’enfance, en arrêtant de culpabiliser, et en profitant de l’instant présent. Car, être parent, c’est avant tout un plaisir ! Eduquer en s’amusant Et si on pouvait éduquer tout en s’amusant ? Arrêter de passer par les punitions, les menaces et les privations… Faire comprendre à son enfant que se brosser les dents peut être amusant, que de mettre la table aussi ! Il faut réussir à instaurer un climat de confiance, et non de supériorité. L’enfant a besoin de sentir qu’il ne fait rien par la peur ou la menace mais parce que c’est bénéfique pour lui et que cela ne sert à rien de s’énerver. Le livre offre la possibilité aux familles d’avoir les clés pour réussir à communiquer sans violences verbales ou physiques. Dans ce kit, vous trouverez tous les outils pédagogiques utiles pour éduquer votre enfant en étant bienveillant ! source : innovation-en-education Le bien-être est la priorité des parents pour leurs enfants, mais se questionnent beaucoup sur la meilleure manière d’aboutir à ce résultat. De même, à l’école on développe essentiellement des compétences académiques même si l’on vise à plus long terme une bonne insertions sociale et professionnelle et par-là un bien-être durable. L’éducation positive concerne les formes d’éducation qui favorisent les compétences utiles aux apprentissages et les compétences favorisant un mieux-être de même que le « vivre ensemble ». Il s’agit d’une approche innovante s’appuyant les recherches en psychologie positive et en éducation. Pratiques d’éducation positive Ces pratiques sont à destination des enseignants. Il s’agit d’exercices de psychologie positive à utiliser en classe avec des élèves de tout âge. Ces exercices sont regroupés en 4 thèmes et ne nécessitent aucune formation particulière pour être utilisés. Ils ne prennent que peu de temps, ce qui ne vous mettra pas en retard dans le programme scolaire. Reconnaissance et gratitude Les forces Relations positives Attention consciente En quoi développer la psychologie positive dans l’éducation est important ? L’apprentissage de pratiques liées à la psychologie positive tend à renforcer la santé mentale chez les enfants. De nombreuses recherches ont démontré que développer le bien-être au cours de l’enfance favorise également le bien-être à l’âge adulte. Si les enfants développement une manière de penser différente et développe des compétences personnelles et relationnelles, celles-ci seront utiles tout au long de son existence. Aujourd’hui, les études montrent que la santé mentale diminue durant la période de l’adolescence. Il semble donc nécessaire d’intervenir en prévention de ces troubles, soit dès l’enfance. Les exercices proposés ici sont facilement applicables au quotidien : ils ne coûtent rien, ne prennent que peu de temps par jour. Ils permettent de renforcer la confiance en soi, l’épanouissement et apprennent aux enfants des attitudes qu’ils pourront mettre en pratique tout au long de leur vie. Source : social.fr L’enfant fait ses devoirs à temps, il écrit bien, fait son lit et garde sa chambre rangée. Timide parfois, il aide ses parents et s’amuse tout seul. Etant donné qu’il ne pose aucun problème sur le moment, nous avons tous tendance à dire qu’il s’agit d’un enfant parfait. Il n’est pas concerné par les problèmes des autres enfants : il ne fait pas le clown en classe, ne dessine pas sur les murs et ne frappe pas sa soeur. Mais faut-il le prendre comme modèle de perfection ? N’y a-t-il rien à améliorer avec ce genre d’enfant ? C’est ce que nous allons voir dans ce nouvel article. Education positive : les dangers d’un (trop) bon enfant : En réalité, si cet enfant semble idéal, c’est qu’il fait précisément tout ce qu’on attend de lui. Et c’est précisément ça le problème. Ces enfants ont un besoin excessif de se conformer et de faire ce qu’on attend d’eux. Et leurs futures difficultés viendront de ce besoin. Pour un bon garçon, il est impossible de faire autre chose, il n’y a pas d’autres options. Etre bon est une nécessité et non un choix. Il accepte d’aider sa mère, qui prétend ne pouvoir rien faire d’autre que regarder la télé, ou bien il n’ose pas se rebeller face à un adulte violent. En étant vraiment bon avec les autres, il recherche la validation et leur intérêt. source : petitpousse.fr N’en déplaise à l’humoriste, ce mode éducatif séduit de plus en plus de parents. La preuve, le livre Cool parents make happy kids(Des parents épanouis font des enfants heureux) s’est écoulé à plus de 15.000 exemplaires depuis janvier et le site éponyme est visité 120.000 fois par mois. Mais de quoi s’agit-il ? L’auteure, Charlotte Ducharme, explique : «C’est une philosophie basée sur la confiance, la responsabilisation et l’empathie. Quand un enfant agit mal, on tente d’en comprendre la raison plutôt que crier ou le punir». Mais gare aux amalgames, prévient d’emblée Véronique Maciejak, auteure de 1,2,3, je me mets à l’éducation positive : cela n’a rien à voir avec une éducation laxiste où l’on dit amen à tout ! L’idée n’est pas de fabriquer des enfants-rois mais de répondre à leurs besoins. “Crises au supermarché” Max hurle devant une petite voiture que vous n’êtes pas disposée à acheter ? Il a peut-être tout simplement besoin d’attention ! «Si c’est ça, il suffit de regarder le jouet avec lui, dire combien vous le trouvez joli et il se calmera aussitôt», commente Véronique Maciejak. S’il continue de s’époumoner, c’est que ce n’était pas le bon besoin. Il faut donc continuer à chercher. «Les crises au supermarché après l’école dissimulent souvent de la fatigue», poursuit la spécialiste qui conseille de valider ses émotions («je comprends, ce n’était pas le bon moment») puis d’expédier le reste des courses. source : madame Figaro Education positive, en conclusion L’éducation positive, c’est donc une nouvelle façon d’éduquer son enfant. Elle repose sur des principes simples. L’enfant est doté d’une compréhension et d’une capacité à appréhender le monde qu’il entoure…Il faut donc le respecter et le responsabiliser en lui laissant un maximum d’autonomie et surtout lui donner la possibilité d’exprimer ses besoins et ses envies. Qu’en pensez-vous ? êtes-vous sensible aux méthodes prônées par l’éducation positive ? Parentalité bienveillante : Qu’est-ce que c’est ? Aussi loin que je me souvienne j’ai toujours eu une forme d’affinité avec les enfants et le ressenti d’une sorte de fibre maternelle. Mais je n’avais pas prévue d’être mère si tôt, lorsque j’appris donc ma grossesse, en moins d’une fraction de seconde je suis passée par toutes les émotions. Se rendre compte que l’on porte la vie en soi, c’est indescriptible. Mais c’est aussi et surtout beaucoup de responsabilité. Et si probablement j’ai eu un profond sentiment de joie, j’ai surtout ressenti énormément d’appréhension. Je ne m’étais pas préparée à être mère dans l’immédiat. Je n’avais pas prévu cette grossesse. J’ai donc été saisi de multiples interrogations ; Comment est-ce que j’allais faire ? Serais-je à la hauteur?Comment pourrais-je m’y préparer au mieux? Quelle éducation voudrai -je pour mon enfan t? Comment réussir à m ‘épanouir dans ce nouveau schéma de vie ? J’étais tout à fait débutante dans ce rôle de mère, d’autant qu’il faut dire je n’avais jamais eu dans mon entourage de bébé. En effet, pas de petits frères ou sœurs, ni de cousins ou cousines dont j’aurai pu m’occuper, au contraire je n’avais jamais gardé un enfant de ma vie, ni même préparé un biberon et encore moins changé de couche. J’ai donc très vite senti le besoin de me renseigner, de lire sur le fait de devenir parens et j’ai ainsi écumé les sujets et livres sur la parentalité pour me faire une idée de ce qui m’attendait. J’ai pris goût à me renseigner sur tout ce qui est attrait aux pédagogies alternatives, aux instructions extrascolaires, mais aussi au développement humain tant physique que cérébral, et c’est d’ailleurs pourquoi j’ai ouvert mon blog afin d ‘échanger et s ‘enrichir à ce propos. Au fil de mes recherches, je me suis très vite intéressée à la parentalité bienveillante également appelée parentalité positive. Je préfère la seconde appellation qui rejette l’insinuation contraire d’une parentalité malveillante, ce que j’estime plutôt rare. En effet, des parents particulièrement sévères voire punitifs ne sont pas forcément malveillants. Il faut éviter les raccourcis dans les deux sens, tout comme éducation bienveillante ne veut pas dire tout permettre, toujours dire oui, laisser tout faire sans jamais s’y opposer. C’est très caricatural et c’est pourtant un cliché bien répandu. Je me souviens d’ailleurs d’une remarque de ma mère, lorsque je lui parlais de mes lectures à propos de l’éducation positive ; «mais bien sûr ! les enfants finissent par dessiner sur les murs et les parents les laissent faire sous prétexte qu’ils expriment leur côté artistique » voilà ce qui résume assez bien ce que beaucoup ont comme à priori sur ces méthodes éducatives. Peut-être d’ailleurs que toi aussi tu en as une idée préconçue ? Alors la parentalité positive qu’est-ce que c’est ? Quelles sont les grandes lignes de l’éducation bienveillante ? Il n’y a pas de de définition exacte et il existe, évidemment, plusieurs approches, et je te livre ici la mienne : L’éducation positive, ou accompagnement bienveillant de l’enfant, repose évidemment aussi sur le principe de discipline. Que cela soit bien clair. La nuance est la recherche de l’autodiscipline plutôt que la soumission parfaite aux ordres parentales. Il ne s’agit pas de laisser une totale liberté ni d’imposer des limites restrictives incomprises par l’enfant mais de poser des règles constructives compréhensibles pour l’enfant – j’ai envie de préciser pour le parent également, combien de parents donnent des ordres qu’eux-mêmes ne comprennent pas, mais j’y reviendrai. On tente ainsi d’orienter l’enfant vers le positif, sans lui coller l’étiquette d’enfant difficile, de petite terreur, de vrai monstre ou encore de méchant. Beaucoup imagine que ce qui demande du travail c’est de dire « non » à un enfant et de rester ferme sur celui-ci. En réalité, cette discipline autoritaire du « je t ‘ai dit non, c’est non, c’est moi qui décide, un point c’est tout» est ce qu’il y a de plus facile. En effet, nous ne cherchons ni à comprendre l’enfant, ni à ce que l’enfant nous comprenne. Nous ne cherchons que la soumission à un ordre donné par l’autorité parentale. Se mettre à la hauteur de l’enfant, prendre en compte son développement, telle que son immaturité cérébrale qui se traduit notamment dans la difficulté à gérer ses émotions, les facteurs externes, tenir compte de son point de vue, justifier à sa hauteur le pourquoi d’une règle, fournir l’effort d’écouter et de se faire comprendre, essayer d’en tirer sans cesse quelque chose de constructif et donc de positif, pour que l’enfant s’auto-discipline, tout cela demande, en revanche, un travail phénoménal. Mais comme tout travail, il paie. Ces efforts permettent une meilleure entente et ambiance familiales, et l’épanouissement de chacun, aussi ils permettent de responsabiliser l’enfant et l’éduquer, l’accompagner positivement. Là ou une éducation autoritaire punit, l’éducation positive solutionne. On cherche des solutions adaptées plutôt que des punitions. Par exemple, tu laisses ton fils de 20 mois jouer avec le fils de ta voisine, qui lui pique sa voiture. Tu lui proposes alors la même voiture, similaire « ce n’est pas grave, tiens, joue avec celle-ci, c’est la même ». Mais voilà que ton enfant le mord, et se met à pleurer, de même son camarde mordu se met à hurler. C’est donc la grosse crise. On peut punir l’enfant « parce qu’on ne mord pas, c’est pas bien, tu es vraiment méchant » ce dernier se retrouve alors puni dans un coin, en pleurant encore davantage car il se sent incompris et méchant, d’ailleurs ce genre de phrases accusatrices sont bien plus nocives que ce qu’on pense, l ‘enfant à très vite tendance à vouloir satisfaire le rôle dans lequel on l’enferme. On peut aussi aussi punir le second, après tout « on ne pique pas les jouets des autres » et voilà que le deuxième pleure dans l’autre coin. Ils seront punis, certes, mais n’auront rien compris. Au contraire, dans ces situations, l’enfant se sent incompris et cela génère davantage de stress et donc davantage d ‘émotions, qui, rappelons-le, il ne peut pas gérer à cet âge-ci, tout simplement parce que son cerveau n’est pas encore tout à fait mature pour gérer les émotions. Autrement, on peut tenter de trouver des solutions, tout d’abord la cause de cette morsure et même de cet arrachage de jouet et comment l’éviter. Ici, un enfant de 20 mois, lorsqu’il possède un jouet ou voit son camarde heureux avec un jouet, il pense que cette joie est procurée par l’objet même qu’il tient entre ses mains, il n’est pas encore capable de projeter dans son cerveau qu’il pourrait avoir cette même joie avec un autre jouet, quand bien même parfaitement similaire. Ce qui l’intéresse c’est ce que détient son copain et qui le rend heureux et non l’objet en lui-même. Il veut lui aussi être content et en déduit, que c’est ce qu’il a dans ses mains qui le rend content, c’est pourquoi il s ‘en empare ou refuse d’en être séparé. L’enfant se trouve donc contrarié, il va donc chercher à l’exprimer, mais il n’est pas capable de le faire verbalement, il va donc mordre pour s’affirmer. Dans cette situation, le rôle du parent ou de l’éducateur est primordial, il doit aider l’enfant à gérer son émotion, en commençant par exemple par un câlin, qui va déclencher de l’ocytocine comme hormone et permettre de ne pas se laisser submerger par ses émotions, mais de se sentir apaiser, il est important ensuite de l’aider par exemple à mettre des mots sur ses émotions : « Tu es en colère, je comprends que tu sois très contrarié, car il t’a piqué le jouet avec lequel tu t’amusais. Toutefois, on ne mord pas, car ça lui fait mal et on ne blesse pas ses camarades. » l’enfant se sent compris lorsqu’on met des mots sur ses émotions, cela l’aidera aussi à les exprimer le plus tôt possible verbalement plutôt que sous forme de crise émotionnelle, souvent traduite par des pleurs. L’enfant se calme alors très rapidement et les jeux peuvent reprendre. D’autres concrets comme le moment du coucher peuvent être cités ;l’enfant refuse de dormir, on peut choisir la facilité : laisser pleurer l’enfant dans son lit, il finira par comprendre qu’on ne répond pas à ses besoins et effectivement par se taire. On peut chercher la cause de ces pleurs ; est-ce qu’il a faim, soif, a-t-il compris que c’était l’heure de dormir, a-t-il besoin d’être rasssuré ou tout simplement n’a-t-il pas envie de dormir? A-t-on le droit, d’ailleurs, de prendre en compte l’envie d’un enfant de 18 mois ou cela fait de nous des parents laxistes ? Si l’enfant a soif ou faim, le problème est généralement très vite solutionner. Il est plus difficile,en revanche, de l’aider à comprendre le moment du coucher, il existe pourtant des façons d’agir efficacescomme l’instauration de routines qui permettent à l’enfant de se rassurer et se repérer. Il comprend au fur et à mesure, qu’après la douche, il y a une histoire racontée, et qu’après l’histoire, c’est l’heure de dormir. Il s’y prépare donc bien avant et accueille d’une meilleure manière le moment du coucher. Dormir c’est aussi se séparer de ses proches, et cela peut être très angoissant pour un enfant, c’est donc tout à fait normal qu’il aie besoin d’être rassuré et de ressentir votre présence à ses côtés; pour combler ce besoin affectif il y a le maternage proximal mais pas seulement, s’allonger au côté de l’enfant, le câliner, le masser, libère par exemple des hormones comme l’ocytocine qui l’aident à se sentir mieux, à se détendre et s’endormir apaiser. Alors oui, cela demande de rester plus longtemps et des efforts, mais tout le monde en ressort encore une fois gagnant. L ‘éducation positive, par ou commencer ? Des petits changements quotidiens peuvent très vites permettre d’améliorer l’ambiance familiale. La première des choses, est de se renseigner sur les phases de développement de l’enfant, afin de bien comprendre comment il fonctionne, ce qui peut être exigé ou non de lui, et adapter nos comportement en fonction de cela. Je compte bien t’aider sur ce premier point, en publiant régulièrement sur mon blog, différents articles sur les stades de développement de l’enfant entre 0 et 6 ans. Le deuxième point est de s’orienter vers le positif : qui n’a jamais entendu du terrible two? Entre 18 et 36 mois, l’enfant s’affirme et rentre dans ce que certains appellent une phrase d’opposition. En même temps, lorsqu’on lui dit continuellement non pour affirmer notre autorité de parent, on ne peut que s’attendre à ce que l’enfant emploi également sans cesse le non pour affirmer sa personnalité d’enfant. Pour éviter l’emploi abusif du non, préférer par exemple dire stop pour stopper nette une action ou encore employer des phrases affirmatives plutôt que la négation : “Marche à mes côtés, c’est plus sûr pour ta sécurité » plutôt que « ne cours pas » Essaie de garder ton tshirt propre s’il te plaît » plutôt que « ne te salis pas » « Coloris sur la feuille sans dépasser » plutôt que « ne dessine la table ». Tout d’abord, des instructions affirmatives sont bien plus claires et donc bien mieux comprises par l ‘enfant. En effet, rappelons-nous encore une fois, que leur cerveau bien que extrêmement développé, n ‘est pas encore identique au nôtre dans le traitement de l’information. Dire à un enfant de ne pas faire une chose, lui demande dans un premier temps d’identifier la chose puis dans un second de temps, comprendre qu’il ne faut pas la faire, et on exige de lui que cela soit fait de manière simultanée alors que cela est compliqué même pour un cerveau adulte. Isabelle Filliozat cite dans son livre « J’ai tout essayé » l’exemple suivant ; ce serait comme dire à un adulte « n’imagine pas une girafe ! » naturellement nous allons d’abord nous imaginer la girafe avant de tenter de l’exclure de notre imagination. On constate donc que les ordres négatifs sont bien plus difficiles à comprendre et mettre en pratique qu’une phrase affirmative claire qui permet à l’enfant de comprendre ce qu’on attend de lui. De plus, il se sent ainsi responsabilisé, et donc ressent moins le besoin de s’opposer pour s’affirmer puisqu’on lui donne l’opportunité de le faire en étant responsable, il est ainsi plus emprunt à écouter et faire ce qui est voulu. Le troisième point consiste à éviter d ‘employer le « tu » accusateur et culpabilisateur, « tu me fatigues » « tu es méchant » « tu es sales » encore une fois, ces phrases loin d’être anondines, peuvent très vite pousser l’enfant à vouloir satisfaire cette idée qu’on a de lui et le pousse ainsi à se renfermer dans le rôle du méchant, fatiguant et ainsi de suite. Il faut donc priviliéger des phrases comme « Je suis fatiguée, car tu as été très excité toute la journée » ou bien « Je trouve méchant le fait de ne pas vouloir partager son gouter » et encore « ton pull est tout sale » Le quatrième est de ne pas faire à ton enfant, ce que tu voudrais pas que l’on te fasse. Tu es entrain de faire une superbe activité, tu es hyper concentré et là, on t’arrache et on te pose dans le lit, à barreau qui plus est, dans le noir parce que « c’est l’heure de dormir et ce n’est pas toi qui décide ». Je crois que tu réagirai comme lui. C’est important donc d’ accompagner l ‘enfant, se mettre à sa hauteur pour tenter de lui faire comprendre qu’il est l’heure par exemple d’aller dormir. Il faut l’aider à s’y préparer par exemple à l’aide des routines ou par le fait de l’énoncer verbalement. « Nous avons bien joué au parc aujourd’hui, tu veux qu’on y revienne demain ? Fais encore trois tours de toboggan et nous allons rentrés à la maison. Tu veux compter avec moi ? » L’enfant commence à se mentaliser le départ et cela permet de désarmoçer la crise. Le cinquième point, toujours dans le but de responsabiliser l ‘enfant pour lui permettre de s’affirmer, il est important de lui proposer des choix ; tu souhaite mettre le pantalon noir ou le pantalon rouge aujourd’hui ? » ou encore dans le but de le préparer à la fin d’une activité « nous allons bientôt rentrés. Tu veux passer par quel chemin ? Celui vers la marre aux canards ou bien tu préfères passer côté des fontaines ? » « Tu voudrais que je te lise quelle histoire ce soir ? » Je t’ai livré ici quelques clés pour appliquer au quotidien des principes basiques de bienveillance, rassure-toi, ils sont pour tout le monde bien plus difficiles en pratique qu’en théorie. Crier parfois, être autoritaire, ne fait pas de nous des parents malveillants pour autant. Mais petit à petit, en appliquant davantage de ces préceptes et en comprenant mieux son enfant ainsi qu ‘en se faisant mieux comprendre par lui, l’épanouissement familale sera alors au rendez-vous. N’oublie pas que la montagne est faite de petits cailloux ! Il en est de même pour l ‘éducation, chaque petit geste qui tend à l ‘amélioration compte. N’oublie pas, il n’y a pas de parents parfaits ni d’enfants ingérables, alors positive !